lundi 8 août 2011

MARTINET



Voila un de mes instruments preferés, pour ma part j'adore recevoir une punition avec le martinet... De plus cette jeune femme française semble assez douillette, ses jolies petites fesses sont ma fois très jolies

135 commentaires:

  1. Moi aussi j aime cet instrument si les lanieres sont en cuirs faites les tremper dans de l eau salé vous verraient le résultat

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  2. Le plus délicat n'est pas de les tremper dans l'eau mais tout simplement de trouver un vrai martinet comme ceux des années 70 avec les lanières épaisses et solide.... Maintenant il est impossible d'en trouver, les lanières sont trop légères et trop fines,

    Mais je me demande bien pourquoi le fait de tremper les lanières dans l'eau change quelque chose

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    1. Une solution simple pour fabriquer une véritable martinet est d'acheter des lacets en cuir, de les couper à la longueur voulue et de les monter sur un morceau de manche à balai.
      on trouve des lacets en cuir assez épais chez les cordonniers ou dans les magasins d'articles de sport.

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  3. Cela me rappelle ma femme, nous etions jeunes mariés elle s'etait pendu à mon cou, et m'a dit: tu ne vas pas m'acheter le martinet, et insista :hein tu ne vas pas m'acheter le martinet, sur le coup je n'ai pas su quoi dire, surtout c'etait sans raison, puis je me suis repris et lui ai dit si si on ne sait jamais, je pourrai en avoir besoin.

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    1. J'ai donné des fessées à ma copine. Un jour, j'ai acheté un martinet dans un supermarché, aussitôt rentrés à la maison, j'ai couché ma copine sur mes genoux, je lui ai relevé sa petite jupe et baissé sa petite culotte , puis donné une bonne fessée avec le nouveau martinet. Je lui ai bien rougi ses petites fesses jusqu'à ce qu'elle jouisse ! Je lui donne souvent la fessée au martinet, elle adore !

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  4. Une petite fessée au martinet, rien de plus excitant pour celui qui la donne et encore plus pour celle qui la reçoit ! Ma copine est devenue adepte, j'adore rougir ses petites fesses blanches

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    1. Entièrement d'accord ! Après avoir donné quelques fessées à la main à ma copine, elle a accepté se faire fesser au martinet et elle aime. Et j'aime voir rougir ses petites fesses !

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  5. En trempant les lanieres celle ci enfle donc son plus efficace et moins de bruit mais le resultat est plus douloureux

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  6. En trempant les lanieres celle ci enfle donc son plus efficace et moins de bruit mais le resultat est plus douloureux

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  7. une tres jolie fessée ,voila je suis un homme de 54 ans j'habite dans l'herault et j'aimerai trouver une personne h/f qui puisse me fessée main plate et martinet me contacter bf.34@live.fr

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  8. ca se nais pasla martinet de mon enfance quand javais une mauvaise note ou ayant desobis maman en plus de mes cuisses et de mes jambes lancer le martinet je sautillais on appelez ca la dance du martinet a ras de mes culottes courtes c est a dire de mes fesses le martinet laissait sa marque filles et garcons ainsi que mes profs voyaient que javais eté fouetté je recevais ce que maman disait la deculotté assé rare reservé a une fesse a la main sur les genoux de ma mere elle me fesser devant ma sceaur quand javais les fesses bien rouge je mappuyais le ventre sur la table de la cuisine je revais le martinet sel ciglé rien a voir avec cette fille de20 coups a 50 coups apre ma mie au piquet mes promesses de ne plus recommencer maman me prenait dans ses bras elle membrassée maman etait maternelleaffectueuse setait le bon temps ma soeurs et moi avons etait soumis au martinet familiale jusquau depart pour l arméeet jusquau mariage de ma soeur grace a maman avons reussis nos etudes papa ne mas jamais fouette chez nou pas de gifles mais on savait que si nous soumetions a maman mon pere nous fuetterais avec sa cravache dans es autres famille s etait pareil a l epoque toute les meres avat un martinet a la maison ma soeur portait des jupettes ou des shors quand a moi en fin secondeou javais un pantalong enrevenant du lycée j etas en petit short marine en tiole legere tenu vec un elastique maman pouvat me deculotter facilement c st petit short tellement court que l on apercevais mon slipe blanc que l on apercevais s etait le bon tepsune famille heureuse

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  9. Et oui dans les années 60 et 70,toutes les mamans possedaient un Martinet pour nous corriger,sans compter que la blouse en nylon était obligatoire à l'école comme à la maison aussi !et pas question de pantalons pour nous les garçons ,c'était culottes tres courtes souvent tenues avec des bretelles toujours bien tendues,donc nos meres n'avaient qu'à remonter nos blouses et nos fesses étaient apparentes et pretes pour le Martinet.Ma mere l'avait reçue de sa mere (ma grand mere),et il me faisait bien mal !car c'était un model ancien un manche en bois fonçé et 12 lanières marron foncées patinés,(ma mere souvent cirait les lanières puis les faisaient briller,autant dire qu"elles me coupaient la peau,et le peu que j'étais en retard en revenant de l'école elle venait à ma rencontre (elle aussi dans ses très longues blouses en nylon jaunes),et me faisait avançer à grands coups de martinet dans la rue,ce régime a duré jusqu'à mes 16 ans mais à l'époque personne n'y pretait attention,bref c'était la norme,et meme lorsqu'on sortait en voiture ma mere embarquait son martinet avec elle ,au cas ou...,et devant la famille j'en ai bien reçu du martinet aussi!

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    1. C'est tout à fait exacte,pendant ces décenies une maman ou maison sans martinet ça aurait paru "bizarre".Ma mere avait une amie qui avait 5 enfants et elle parraissait encore très jeune,grande et belle,surtout dans son short d'été en jean à bavette et bretelles croisées dos,et elle était "adepte du martinet,(qu'elle avait fabriquée elle meme,avec des lanières en balatum !!,elle était très bricoleuse et son Martinet avec son gros manche et ses 8 longues ( 60cm) et larges 1.5cm lanières faisaient mal aux fesses de ses 5 enfants ,d'après elle ,(mieux qu'en cuir),et ma mere interressée par son explication,llui demanda si elle pourrait en fabriquer un ce qu'elle fit dans l'après-midi meme,( ah la bonne idée !!),lorsqu'il fut terminé avec sa belle collertte en balatum aussi,ma mere l'essaya sur mes jambes ,wow!c'est vrai qu'il faisait mal,en plus tres impressionant d'une longueur totale de 90cm,il ne passait pas "inaperçu !,en plus son amie avait meme rajoutée une sangle en balatum pour l'avoir bien en main,et était accroché à la poignée de fenetre de la cuisine,et toutes les personnes qui venaient chez nous disaient "oh avec un martinet comme ça,vous pouvez discipliner toute une bande de garnements !,,sans parler de la douleur ,en plus je me payais la honte surtout lorsque ma mere me fouettait avec devant d'autres personnes ou qu'elle revenait me chercher dans la rue à grands coups de lanières en balatum surmes jambes pour me faire avançer plus vite,en plus lorsqu'on sortait en voiture le martinet était allongé dans toute sa longueur sur la plage arriere de la voiture,en tout cas moi aussi je n'ai pas échapé ç à cette discipline aussi jusqu'à mes 16 ans!

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    2. c'est vrai lorsque j'étais enfant âge 7 ans, on avait la blouse mais sans culotte courte, les gens du village soulevaient la blouse pour voir le pénis
      l'été, je recevais la fessée aux orties ...... quel douleur

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  10. Le nerf de boeuf est plus efficace pour ces cochonnes surtout si vous lui crocheter la chatte avec 2 doigts de l'autre main, elle sera trempée et prete à la sodomie

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    1. Le nerf de bœuf...oui mais as-tu déjà pensé aux fils de rallonge électrique...ou encore des morceaux de fil à linge en plastique...
      Mon mari me les applique régulièrement : c'est un régal surtout lorsqu'il est excité et qu'il frappe dure souvent à sang...atroce...ment bon!

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    2. Mon mari aussi m'a fabriqué des martinets avec des fils de rallonge électrique.Il m'a aussi fait des martinets avec des fils élecriques épais qu'il dénude pour séparer les 3 ou 5 fils conducteurs.
      C'est en effet délicieusement douloureux mais tellement excitant.J'adore être liée au milieux de
      la cave, bras en l'air...Dès les premiers coups j'hurle...mon plaisir, cela excite mon mâle et il frappe alors à fond: d'abord les fesses puis les cuisses puis il passe devant sur les seins...
      atroce... sur le ventre super...La peau rougi, bleui puis se déchire le sang perle puis coule...
      terriblement douloureux mais tellement bon.
      Pour atteindre le sommet il arrive que mon mari
      enduise les plaies avec de la pâte de piment fort...(parfois du jus de citron ,du vinaigre ou du sel)

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  11. Toutes ces décenies en effet étaient rythmées par le Martinet,accroché dans tous les foyers à la vue de tout le monde,et des qu'on faisait un écart nos meres avaient vite fait de le décrocher pour nous cingler nos fesses avec.Et comme à l'époque pour nous les garçons les magasins ne vendaient que des culottes très courtes à bretelles,avec audessus une blouse en nylon,soit boutonnée devant,coté ou dos,nos fesses s'offraient façilement aux lanières en cuir du Martinet.Pour des simples rappels,ma mere me donnait quelques coups sur mes jambes,mais pour des choses plus graves,il y avait ce banc en long et haut,sur lequel je devais m'allonger,et ma mere en permanance en blouse en nylon aussi,se plaçait derrière moi,en faisant abattre les lanières du Martinet à toute volée sur mon posterieur ! et si je bougeais ou me plaignais,ma mere me rèpondais,"ne bouge pas mon garçon maman a bientot finie,et moi qui me tordais de douleur,elle me retorquait "ah mais c'est pour ton bien," tu m'en remercieras plus tard !l.La fessée finie je devais rester debout au coin 30mn les mains sur la tete,avec ma culotte et bretelles qui trainaient par terre,ensuite,elle remettait mes vetements en place,dont mes bretelles qu'elle retendait bien de nouveau ! Elle avait aussi sa tondeuse électrique dont elle se servait souvent aussi,et grace à elle ma tete était toujours bien rasée ! (la boule à zéro),comme tous mes autres camarades de classe,et pour l'hiver la seule protection qu'on avait pour proteger nos boules à zéro c'était des grands bérets qui tombaient sur nos oreilles,et dire que nos meres nous "trouvaient beaux comme ça !Il n'y a que le dimanche que ma mere m'autorisait à enlever ma blouse en nylon,mais j'étais toujours en culottes courtes à bretelles,( la aussi comme mes autres camarades et voisins),.Meme lorsqu'on sortait le martinet me suivait,et malgé qu'on se trouvait dans la famille ou au parc,je n'étais pas dispensé d'une bonne fessée au martinet devant tout le monde! On avait 2 voisines qui étaient très grosses et pas sympatiques du tout,toujours dans leurs blouses en nylon qui arrivaient à leurspieds,et qui étaient très adeptes du Martinet pour leurs garçons,et qui n'hesitaient pas à s'en servir meme dehors,en racompagnant leurs enfants à grands coups de Martinet jusque chez eux,d'aillieurs elles en rachetaient souvent,car à force d'en donner à cette cadence la,à force les lanières partaient du manche,donc obligées d'en racheter,chez le droguiste du coin,à l'école les filles se moquaient de nous en soulevant nos grands bérets et voyant nos boules à zéro,n'empeche qu'elles aussi avaient de belles zébrures aus jambes et fesses comme nous ,grace aux Martinets de leurs meres,et la elles ne s'en vantaient pas,et c'est comme ça que ça marchait pendant toutes ces décenies en France !

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  12. Le martinet est efficace si administré plus fort et plus fermement; chez nous pour une culotte souillée (très souvent),c'était au minimum 20 coups sur la chatte, couchée, les jambes écartées et relevées, ensuite une culotte remplie d'orties a garder pendant 2 heures à genoux sur une règle et mains sur la tete. Mes 2 sœurs et moi avons reçu cette punition jusqu'à 21 ans.La nuit de ces punitions j'entendais ma mère et mon beau père baiser comme des betes et je me masturbé dans mon lit.

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  13. j ai recu de severe fessée par la surveillante de mon college ce qui m humilier leplus c est a 15 ans elle me deculoter cette fois ci se fut devant toute la classe elle mattacher sur une sorte de tables a fessée j etaist la tete en bas les fesses en lair mes copains qui attendait leur fessée en ma voyant foueter avait peur du fouet quand je fus pret pour le fouet methodiquement mes fesses furent cinglé mon gros derriere recu les lanieres je hurlais je me mis rapidement apleure mes fessesetait cinglée ala volée au debut ce fut mescuisse puis a la plieure des fesse j etait impuissant attacher mon gros cul souvrait scartais on apercevais mes testicules fouetté par le martenet pendé et rouge commes mes fesse je hurlé pleurér mon gros derriere remplie de trace du fouet ma foueteuse me fouetta jusquau sangpuis apres elle me detacha du banc a fessée je ne pu remetre mon slipe par la douleur je reussis a ma reculotter je fus mis au piquet la surveillante me dis que j avais merite ma fesséée apres la jeune femme fut plus douce elle proposa de soigner mes fesse elle me passa de l arnica passa des glacons sur mes fesses je la remercier mademoiselle membrassa elle me reconduisit a mon dortoir je passais sur mon lit allongé sur le ventre ce fut ma premire fessée en pension je ne fut pas trau matise par ma fessée je l avais largement merité apres cette fessée je fis de gros effort en classe j ai eu des bonnes notes mes parents comptant de moi me recompensereil dire au surveillante fessée ma fille pour ces etudes

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    1. j'ai eu la meme experience fessè sur mes grosses fesses de Garçonnet par une femme (sourveillante de colonie).
      J'aimerais de lire encore tes aventures

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  14. j ai 74 ans j ai eu de nombreuses fessée par ma mere avec les culottes courtes il etait dusage de fouetter les garcons au college maman avait dit a mes profs je vous donne l autorisation de le fouetter la directrice du college ne sen privais pas etre deculottée par elle etait humiliant de 14 a 15 ans un jour etant pubere je me mis a bander j etais honteux alors mon garcon tu aimess la fessée je protestais non madame ecoute gamin je te foueterais tous les jours et ju de nombreuses fessée deculotté comme j etais grasouillet elle me dit tu ne sais pas le plaisir a te fesser allongésur ces genoux les fesses en lair la tete en bas imobilisé par sa cuisseelle me donnait de longues fessées j entendais les claques sur mon cul je la supliait d arreter pas sur cette fesse la jai mal je n enpeux plus changer de fesse madame ses fessées etait longues et cruelle elle me fessée par sigle quand je n arrivais plus a respirer elle s arreterje reprenais mon soufle quelque fois elle caresser mes fesses masturbé on penis si tu jouie avec mon martinet je te fouetterais les couilles elle etait sadique cruelle quelque fois ells m enculais en me doigtantle cul puis elle mattachais sur un banc les fesses en l air ecarté puis avec son martinet me cinglais le troue du cul le bas des couilles je hurlais suplier elle aimait me fouetter jefus fouetter jusqu a 18 ans grace a elle je reussis mes etudes ma mere la remercia il faut reconaitre que la fessée me procurais du plaisir

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  15. Nous étions dans les années 70,et étant fille unique et ma mère était authoritaire,j'avais interet à me tenir à carreau!,Ma mère tenait avec sa soeur un magasin de jouets dans une ville dans le centre de la France,mais dans ce magasin on y vendait aussi des Martinets fabriqués par un artisan,autant dire qu'ils faisaient mal! Je suis allée jusqu'à mes 18 ans dans une école privée,tenue par des religieuses,et qui n'étaient pas tendres du tout avec nous. Ma tenue était la meme pendant toutes ces années scolaires,jupe plissée bleue-marine à bretelles larges,blouses en nylon bleue-marines aussi longues fermées par des grands boutons plats blancs et le beret( c'était la tenue exigée par l'école).En plus dès que j'étais prete à partir à l'école, ayant mis ma blouse et beret,je devais en plus porter sur mes épaules ma serviette en cuir d'école tenue par des sangles en cuir et qui me tiraient sur mes épaules,( pour les autres élèves idem),et ma mère tenait absolument à me conduire et me rechercher à cette école,car il fallait traverser la ville.Donc prete et habillée avec en plus cette serviette à sangles sur mes épaules,lorsqu'on marchait j'était pliée et ma mère me suivait avec sous son imperméable sa blouse blanche en nylon boutonée dos,et un Martinet en main ,et quand je ralentissait elle me donnait quelques coups sur mes jambes avec pour mieux me faire avançer.arrivée à l'école nous étions toutes acceuillies par la soeur de discipline qui elle aussi avait un Martinet en main,pour nous aligner en rang pour entrer dans nos classes,et et il fallait etre bien alignées sinon elle se servait de son martinet sur nos jambes!,Dans nos classes sur chaque bureau la religieuse avait elle aussi un Martinet,surtout pour celles qui n'écoutait pas!,et moi comme les autres j'en ai reçue sur mes fesses,mais la il fallait soulever notre blouse,se pencher sur le bureau puis la religieuse relevait nos jupes pour bien atteindre le haut de nos fesses,et elles nous donnaient du Martinet " à toute volée",après quoi on avait du mal à se rassoir sur nos bancs en bois!,Meme à la récréation celles qui criaient ou sautaient trop,elles étaient apelées par la soeur de discipline,et on leur disait," allez ma fille soulève ta blouse on va te donner du Martinet pour te calmer,en fait c'était très authoritaire!.Arrivé au soir de nouveau ma mere venait me rechercher,(sa soeur tenant le magasin pendant ce temps),,bien entendu habillée pareil,et ce qui me genait surtout arrivée à l'age de 16/17 ans,c'est lorsque ma mère tombait sur une de ses connaissances,elle discutaient ensembles et moi à la vue de tout le monde je devais rester debout sans rien dire,et en plus ma mère Martinet en main,faisait tournoyer les lanières en cuir en l'air ,et moi je devais rester la comme une cruche,et par malheur si j'ouvrais la bouche,tout de suite ma mère me disait " mais dis donc on ne t'as rien demandée,et schlack encore quelques coups de Martinet sur mes jambes,et les gens voyant cela en passant rigolait ,(car en plus j'étais plus grande que ma mère),Enfin arrivées au magasin,j'enlevais cette sacoche si lourde de mas épaules et je voyais ma mtnte bien présenter dans la vitrine avec les jouets de belles grappes de Martinets,ce qui faisait qu'en meme temps les gens achetaient des jouets,ils prenaient un Martinet ,aussi en disant "ça nous servira toujours",donc il se vendait autant de Martinets que de jouets!,Ensuite je faisais mes devoirs mais en gardant ma blouse d'école,et une fois terminés,je devais enlever ma blouse d'école pour mettre une autre toujours en nylon mais de couleur turquoise et boutonée dos ,et plus courte,comme ça ma mère pouvait mieux attraper mes fesses avec son éternel Martinet,et voila la routine que j'ai connue jusqu'à mes 18 ans,mais c'était tout à fait banal à cette époque!

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  16. quelqu'un a t'il le lien de cette superbe vidéo?

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  17. J'ai moi aussi connu cette époque,ou nos meres,,car c'est à elles qu'on avait affaire nous disciplinaient.Elles surveillait nos devoirs et surtout nos notes de classe,et quand ça n'allait pas la mienne allait trouver mes professeurs,en majorité feminins qui lui rèpondaient ,Il faut le reprendre en main Madame votre Fils,et pourtant je reçevais du ceinturon sur mes fesses,il était accroché au porte-manteau de la salle de bains.Quant à ma tenue,ma mere n'a jamais voulue m'acheter une blouse en nylon,je devais mettre une en coton épaise grise et un beret,endessous comme les autres garçons de mon age 14 ans,c'était culottes courtes avec des bretelles mais de style grand-père à boutonières,la aussi j'avais dit que c'était démodé,mais rien à faire et lorsque j'insistait,elle alla chercher le ceinturon et roulant la partie avec la boucle autour de sa main et,me disait penche toi audessus le dossier de la chaise,et schlack c'était 10 coups de ceinturon sur mes fesses,quoique il parait que ça faisait moins mal que le martinet.Elle parcontre portait des longues blouses en nylon lui arrivant aux chevilles.Avec mes camarades de classe des fois on discutait de fessées au Martinet qu'ils reçevaient de leur mere,et lorsque je leur ai dit,que pour moi c'était le ceituron,je leur demandait ça fait si mal que ça?,attends un jour d'en reçevoir tu verras la difference.!Puis le mois suivant de nouveau mes notes d'école n'étaient pas à la hauteur des espèrances de ma mere,de nouveau elle interogea mes professeurs et surtout elles lui rèpondirent,il faut le priver de sorties,de télévision,et donnez lui une bonne fessée au martinet,ma mere répondit j'en ai pas,et la on lui rèpondit alors madame on ne vous comprends pas parceque meme nous pour nos enfants on a tous un Martinet,ma mere intriguée et vexée decida cette fois de s'arreter chez la droguiste centre ville et y entra avec moi et demanda un martinet pour moi,la dame rèpondit avec des lanières en plastique ou en cuir,ma mere étonée rèpondit ah bon pourquoi il y en deux sortes ?oui madame avec les lanières en plastique c'est pour les filles et pour les garçons c'est avec des lanières en cuir,bien dit-elle j'en prends un avec des lanieres en cuir,la dame l'enveloppa dans au papier marron et nous voila reparti à la maison.Seulement ma mere au début ne savait pas trop s'en servir et du apeller une voisine qui lui fit une démonstration sur mes fesses,wow! mes copains ne m'avaient pas mentis ,c'était autre chose en effet que le ceinturon,au début ça chauffait puis après quelques coups ça striait mes fesses,et laissait des marques rouges.! Puis ayant bien apprise à s'en servir il arrivait que j'en reçoive plusieurs fois par jour,et me plaignant d'avoir du mal à m'assoir,ma mere répondit "tant mieux" j'éspère que comme ça tu vas mieux travailler à l'école!.J'étais comme mes copains de classe reçevant désormais le martinet par ma mere mais ma blouse en coton et beret je les ai gardés jusqu'à la fin du collège!

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  18. Moi et ma femme avons été élevés au Martinet par nos meres,et on en est pas morts,quand on était fessés avec c'est parcequ'on l'avait merité!Maintenant qu'à notre tour nous avons 2 filles de 6 et 8 ans et qui commençent à rèpondre à leur mere ( qui n'aime pas ça),elle est allée chez sa mere et a reprise le martinet de son enfance ,il était toujours aussi impecable,ils étaient solides et faisaient mal!.Par conséquence lorsque nos filles vont trop loin ma femme leur relève leurs jupettes et elles reçoivent quelques coups de martinet sur leurs fesses et tout entre dans l'ordre!D'aillieurs l'autre jour nous reçevions des amis chez nous ,et nos filles se sont comportées comme des pestes,ça été vite reglée car ma femme a pris le martinet ( elle le mets audessus du buffet de la cuisine on ne voit que les lanieres en cuir dépasser et chacune en a reçue 5 bons coups chacune sur ses fesses et ça les a calmées!,Nos amis nous ont approuvés et meme ayant eux aussi 2 filles,( qui ne les écoute pas non plus),.Maintenant ils ont achetés un martinet sur Internet et s'en servant comme nous,( et ça donne de bons rèsultats!ont-ils dit,Quant à cette loi stupide qui considere que la Martient est une arme de point,,"quelle stupidité",les politics devaient mieux s'occuper du peuple et ne pas se meler des affaires familiales,( oh mais c'est mieux de se droguer,aller à l'école avec une arme ..et j'en passe...

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    1. je partage totalement votre façon de faire ,mon épouse et moi avons été corrigés avec le martinet quand nous le méritions ,comme vous le dites nous n'en sommes pas morts ,bien au contraire nous remercions nos parents de nous avoir donné une telle éducation et nous avoir transmis de bonnes valeurs . nos deux garçons ont connus la même éducation ,la fouettée au martinet était de rigueur quand ils désobéissaient ,comme ils nous le disent aujourd'hui ils n'ont pas été traumatisés et après une fouettée ils n'avaient aucune envie de recommencer car ils reconnaissent que çà calmait bien .ils témoignent qu'ils ne se sont jamais sentis comme des enfants maltraités ,bien au contraire il disent avoir reçu une éducation où les valeurs étaient transmises .Eux aussi perpétuent la tradition nos petits enfants connaissent aussi le martinet quand ils deviennent désobéissants .Oui nos politiques ont autre chose à penser que de sortir des lois anti fessée !il est urgent qu'une réelle autorité parentale revienne dans les foyers et que l'on cesse de stigmatiser l'utilisation du martinet

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  19. Comme vous, je pense que ça calmait super bien les enfants , surtout avec les culottes courtes et jupettes :les cuisses dénudées étaient une cible idéale pour le martinet (beaucoup mieux que les fesses).
    Un petit coup bien sec sur les cuisses étaient suffisant pour faire hurler le fautif.Une technique souvent adoptée par les mamans pour les fautes graves: était de rester à coté du fautif avec son martinet, et à chaque fois que les hurlements s'atténuaient et hop ! un nouveau petit coup bien sec sur les cuisses. Il s'en suivait toujours les supplications auprès de sa maman d'arreter en promettant qu'il ne recommencerais plus.Mais pour bien montrer que c'était bien elle qui commandait, elle ne lui cèdait pas ça allait parfois jusqu'à 2 ou 3 coups supplementaires avant que ce petit supplice ne s'arrete et, qu'il voit enfin sa mère aller raccrocher le martinet à son clou.Je dis pas après la frousse du martinet!

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  20. Je me souviens que dans ces années-là il existait une grande variété de martinets.
    Et pour répondre aux désirs de nombreux parents d'acheter un martinet bien cinglant( rien à voir avec ceux de maintenant dans les animaleries) .
    Certains fabricants ne manquaient pas d'astuces pour rendre ces martinets fortement cinglants et parmis ces astuces : il y avait:
    1) mettre des lanières fines et carrées-
    2) mettre une bague crantée pour écarter les lanières lorsque le coup partait-
    3) placer 2 ou 3 lanières plus longues que les autres: Il y avait plutôt interet avec nos culottes courtes de bien serrer nos cuisses l'une contre l'autre , si l'on ne voulait pas que ces lanières viennent claquer sur la partie la plus sensible des cuisses, à savoir l'intérieure des cuisses. Sinon les 7 premieres lanières claquaient sur l'arrière des cuisses et les 3 autres s'enroulaient autour de la cuisse avant de pincer très fortement l'intérieur des cuisses.
    J'ai également vu en vente dans le milieu des années 60, aux Nouvelles Galeries des martinets avec de jolies lanières en plastiques de toutes les couleurs, mais elles devaient faire terriblement mal car ces lanières n'étaient ni carrées , ni plates , mais leurs sections étaient composées de 8 angles avec 1 angle sur 2 aigu et entre les deux 1 angle arrondi ( ils ont du etre vendu durant 2 ou 3 ans .... après plus rien) ils devaient sans doute faire beaucoup trop mal.Certains ont peut-etre connu.

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  21. Sur la vidéo, seul le dernier coup de martinet semble bien représenté la vigueur du coup de martinet que pouvait recevoir un enfant,d'une dizaine d'années lorsqu'il désobéissait, dans les années 60.Mis à part, que ça lui tombait comme ça, et souvent par surprise, directement sur ses cuisses dénudées par une culotte courte.Que ce soit à la main ou au martinet, on ne déculottait pas,mais à cause de nos culottes courtes c'était toujours les cuisses qui prenaient.Parents ou institutrices ne manquaient jamais de rougir les cuisses en cas de désobéissance, car à cette époque les enfants avaient l'obligation d'obéir.(Un grand changement avec maintenant )
    Et croyez moi,à la différence de cette jeune femme , le gamin avait de bonnes raisons après un coup de martinet de porter sa main sur sa cuisse et de pleurer un bon coup.Car sur les cuisses nues ça faisait certainement plus mal que sur les fesses nues et que les martinets de cette époque étaient censés etre très cinglants,beaucoup plus que ceux d'aujourd'hui.

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  22. Début des années 70 avant la rentrée en septembre au lycée,j'allais passer en 4eme,donc 14 ans,c'était toujours le meme rituel,ma soeur et moi avec notre mere on passait d'abord "à la maison du tablier et de la blouse" ,ou on nous faisait nos blouses en nylon sur mesure et toujours assez longues,cette année la j'ai eu le droit à une en nylon couleur bordeaux boutonage sur le coté + la charlotte du meme nylon pour mettre sur ma tete,ma soeur elle ( 16 ans) a eu une blouse en nylon couleur rose et boutonée dos +la charlotte aussi du meme nylon.ensuite c'était pour moi 2 culottes courtes en flanelle grises très courtes et une nouvelle paire de bretelles grises à pinces et pour ma soeur 2 nouvelles jupes grises plissées à larges bretelles boutonées ,ensuite chez le sellier ( magasin qui fabriquait des articles pour chevaux en cuir ),ou ma mere rapportait le manche de l'ancien martinet ,car comme on en reçevait assez souvent les lanieres s'en allaient,et étaient remplacées par le sellier avec 9 épaisses lanieres en cuir noir au carré 50cm de long et il nous faisait bien mal,d'aillieurs lorsqu'on le reçevait sur nos fesses les lanieres en cuir faisaient un bruit de " wish-schlack les lanieres épaisses en cuir fendant l'air!,et notre mere y allait de bon coeur nous disant "vous n'avez qu'à etre plus sages et vous aurez moins de martinet.Comme un fin d'après-midi vers 17h en rentrant du lycée j'arrive dans la rue ou j'habitais et je voyais ma mere courir apres ma soeur son Martinet en main ,lanieres dépliées (elle avait loupée son dernier cours et etait rentrée de plus de bonheur,)et ma soeur a trébuchée et tombée parterre,( pour son malheur),et ma mere lui dit ne bouge pas tu es en parfaite position!,et soulevant sa blouse ,ma soeur reçut pas moins de 15 coups de Martinet ,essayant de se proteger avec ses mains et ma mere qui criait " enleve tes mains" et cela devant tout le monde ,mais comme toutes les autres meres employaient la meme méthode personne n'y fit attention!.Et meme lorsqu'on jouait au square derriere si on ne rentrait pas à l'heure ,notre mere venait nous rechercher son Martinet en main et on était racompanésjusqu'à la maison à grands coups de martinet,et en plus on inspectait nos blouses pour voir si on ne les avaient pas salis,et si c'était le cas ,on avait le droit à une tournée suplémentaire,mais à l'époque c'était la norme ,ça n'a plus rien à voir avec aujourd'hui, (quoique,certains enfants aujourd'hui de la façon qu'ils se comportent meritent du Martinet comme nous l'avons reçus car ils le meritent bien!

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    1. Bonjour à vous,
      Elevée tres sévèrement dans les années 65,le martinet était présent dans chaque foyer,je fus souvent punie de cette facon,de plus la jupe courte était obligatoire à la maison!Donc il était tres facile de distribuer quelques bons coups de martinet sur mes cuisses qui se marquaient de belles striures rouges!Ma sœur eut droit au même régime et ceci jusqu'à nos seize ans.
      Puis les études et la rencontre de "mon homme"et le mariage.
      bien sur nous avions parlé de notre éducation et c'est rougissante que je lui racontais mes rencontre avec Monsieur Martinet,ce qui lui donna un joli sourire!
      peu de temps après notre mariage suite à une querelle toute bete il me dit(oh je m'en souviens)si tu avais fait ça étant jeune tu aurais recu le martinet? un peu decontenancée j'ai murmuré un tout petit"je crois oui"
      "Et bien nous allons remettre ca au gout du jour"j'ai cru à une plaisanterie,mais peu de temps après allant passer la journée chez mes parents il me dit "tu vas recupere le martinet de ta jeunesse il pourrait bien resservir bientôt" j'ai piqué un fard et il me dit devant mon silence "c'est toi qui va le demander à ta mère"
      Et je l'ai fait!!!Sous le regard ironique de ma mère qui me remis un paquet allongé et bien plié dans un papier en repartant et me disant"surtout n'oublies pas ton martinet!"
      Et dés le reour il fut accroché dans la cuisinecomme chez nous) et il a servi souvent depuis; nos amies le voient et du coup tout le monde me pose des questions,mais c'est si bon d'etre de nouveau fouettée par mon mari car cela l'excite beaucoup,et moi aussi!
      Alors vive le martinet adulte!!!

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    2. Bonjour Catherine,
      ça faisait terriblement mal sur les cuisses nues le martinet ( surtout en plus avec les martinets de l'époque).Beaucoup d'enfants se mettaient à pleurer en voyant le martinet venir vers eux,car ils en avaient une peur bleue.(c'était fait pour ça) la seule vue du martinet donnait une forte envie de mettre ses cuisses à l'abri , mais pas facile en petite jupette bien courte. Comment essayez-vous de protèger vos cuisses des lanières de cuir,en mettant les mains? En vous mettant accroupi , tout en tirant sur votre jupette comme pour tenter de la rallonger ?

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    3. Bonjour Anonyme,
      Oh oui ca cuisait vite ces lanières de cuir du martinet de ma mère,et ca laissait de belles zébrures!Bien sur que je le craignais ce martinet!
      Pour ce qui est de se proteger les cuisses,à la maison c'était peine perdue! En effet,le plus souvent c'était deux à quatre coups,bien appliqués,qui nous arrivaient sur les cuisses pour nous faire obeir ou cesser les chahut; si il s'agissait d'une"vraie"punition" nous devions rester debout mains sur la tête,ce qui faisait encore plus denuder nos cuisses avec cette jupe qui remontait,et là la danse du martinet commençait pour au moins dix coups,c'était le minimum,et nous devions les compter!
      Puis la punition finie nous devions aller raccrocher le martinet se mettre à genoux devant pour méditer sur notre bétise!Oh comme je pouvais alors les admirer et les detester ces fichues lanières qui venaient de me fouetter!
      Sur l'idée de tirer sur ma jupe,oui je le faisais,mais après,pour tenter de dissimuler les stigmates de ma punition!!!

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    4. Bonjour Catherine,
      Les tenues bien courtes étaient la norme dans les années 50-60, les filles portaient des petites jupettes bien courtes, et les garçons des culottes courtes,( qui n'avaient rien à voir avec les actuels bermudas).
      Des tenues bien courtes mais aussi très pratiques pour donner le martinet : 2 à 3 coups bien sec , appliqués directement sur les cuisses nues , "pinçaient" très fortement celles-ci , et provoquaient de longs hurlements du ou de la punie, suivi de nombreux Aïe! Aïe!Aïe en se tenant les cuisses.
      Une fois les pleurs passés, le ou la punie examinait ses cuisses.Le lendemain, le mirroir était très utilisé, juste avant le départ à l'école,et elle pouvait voir les marques des lanières que lui avait laissé laissé le martinet sur l'arrière de ses cuisses.
      La crainte que les autres voient les marques sur les cuisses étaient justifiée, car pas question de porter autre chose que sa jupette ou que sa culotte courte.Grosse Honte assurée!
      Assis, en maintenant avec ses mains, les jambes bien repliées sur les cuisses, était la position favorite des écolier(e)s en récrée pour cacher des cuisses fraichement rougies par l'institutrice, ou par le martinet reçu la veille chez soi.
      Je pense que vous aussi vous avez du vivre ce genre de situation.

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    5. Bonjour Anonyme,
      Oui bien sur on essayait de masquer sa punition et les zébrures laissées par les lanières du martinet!
      C'était souvent peine perdue car dés le début des cours l'instite se faisait un malin plaisir à nous faire venir au tableau et à laisser découvrir nos cuisses aux autres copines en disant"alors tu as été fouettée je vois dis nous pourquoi"bien sur tout le monde le savait!

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    6. Bonjour Catherine,
      Pouvez - vous racontez comment vous ou vos copines vous vous y preniez pour essayer de masquer les marques de coups de martinet imprimées sur les cuisses pendant la récrée?
      Certaines devaient etre rouges de honte quand ça leur arrivait!

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    7. Le martinet appliqué sur les cuisses avait l'inconvénient de laisser de méchantes traces rosées. C'est vrai que j'essayais de les dissimuler le plus possible mais avec les culottes bien courtes ce n'était pas évident. "En montrer les marques fait partie de la punition" disait ma mère. La honte n'était pas pour celui qui donnait le martinet mais pour celui qui le recevait. C'était vrai ! D'ailleurs quand des gens venaient à la maison et apercevaient le martinet, ils félicitaient ma mère.

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  23. Nous sommes 2 sœurs et mes parents consignés les fautes toute la semaine sur un cahier (culotte sale, masturbation, retard, etc) et le dimanche c'était jour de punition.
    Complétement nues attachées sur une table nous recevions souvent la punition avec toutes sortes d'instruments (martinet à grosses lanières, badine,cravache) un coussin sous les fesses c'était surtout le sexe et les seins qui recevaient les coups bien assénés, une culotte sale en bouche, les marques restaient jusqu'à la semaine suivante et des inspections inopinées à tout moment

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  24. Nous étions dans les années 70,et je me souviens arrivé à l'age de 13 ans j'avais caché le Martinet de ma mere au dessus de la chasse d'eau des toilettes et elle le cherchait partout elle se plaignait meme qu'elle ne pouvait plus me donner du Martinet du fait que je l'avais caché!N'empeche un soir en rentrant de l'école,ayant laissé ma blouse en nylon bleu-roi,je partit jouer ,mais ma mere me rapella et me fit mettre une autre blouse plus ancienne en coton par dessus,j'ai rouspetté et ma mere ,n'ayant plus de Martinet me fessa à la main,la voisine voyant cela,lui donna une longue ceinture en cuir d'environ 1.30m,et ma mere l'employa sur mes fesses illico presto,je partis quand meme jouer ,avec mal aux fesses,et mes 2 blouses sur moi.Lorsque je rentris pour me laver j'ai vu la longue ceinture accroché au porte manteau de la salle des bains,ma mere s'amena t'as vu la ceinture c'est avec ça que tu sera fessé et il n'a pas interet de disparaitre,et la ceinture fut bien employée sur mes fesses,à l'interieur comme à l'exterieur,devant mes copains et voisines!.Arrivé en été il faisait chaud,pour jouer je devais mettre toujours mes 2 blouses+maintenant une casquette blanche et de grosses chaussures montantes lourds en cuir,,de nouveau j'ai rouspetté,et cette fois en plus des coups de ceinture,j'ai du aller chez la voisine en punition supplementaire me faire raser ma tete avec sa tondeuse,ce qui ravit ma mere!.Puis un jour en faisant le menage Pof! le Martinet caché est tombé parterre,mais il fut caché de suite par ma mere,qui me le montra des mon retour d'école,en plus j'avais chaud avec mes grosses bottines ,casquette et blouse en nylon,et en plus je devais en mettre une autre encore pardessus!j'ai voulu faire " oh pouf",mais je n'ai pas eu le temps,ma mere est sortie avec et la ceinture et son Martinet,et me dit lequel veut-tu?,et j'ai reçu 5 bons coups de Martinet et autant de ceinture,et es voisines disant bravo !madame ça lui fera du bien!bref si j'avais su je ne l'aurai pas caché ce maudit Martient ,car apres ça pendant encore 3 ans je reçus les deux,!!

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  25. Je me souviens dans les années 70 dès que moi et mon frère avons eu l'age de reçevoir le Martinet par notre mere,,environ de 4 à 14 ans,soit pendant 10 ans!,nous l'avons reçus régulierement il faut dire à l'époque je ne connaissait pas de mamans sans Martinet!.Au début notre mere essaya le Martinet avec des lanieres en plastique ,mais il fut vite abondoné pour celui avec de bonnes lanières en cuir qui nous striait bien le haut de nos fesses,du fait qu'étant des garçons été comme hiver on portait que des culottes très courtes et bien relevées grace aux bretelles à pinces bien tendues que notre mere nous obligait à mettre aussi!,il va sans dire qu'on devait mettre nos blouses en nylon par dessus,,bref lorsqu'on avait fait quelque chose de travers ,notre mere nous apellait et on devait se mettre en position,c'est à dire bien penchés en avant relever nos blouses et la fouetté au Martinet commençait,quant à la durée seule ma mere le decidait,Il faut dire à l'époque on obehissait et respectait,nos parents ,en plus le Martinet familial était accroché sur un clou dans la cuisine à la vue de tout le monde ,mais comme toutes les mamans s'en servaient ,personne n-y pretait attention !.Néanmoins personelement,une bonne fouettée donée par ma mere me resta,c'est lorsqu'arriva l'été,notre mere pour l'été nous avait achetés chacun " une blouse special été" dans un nylon vert olive,sans manches ,boutonée devant mais arrivant au niveau de la poitrine et maintenue par 2 bretelles 4 cm de large dans le meme nylon,les bretelles reglables par boutons sur le devant,( commandées sur catalogue,la redoute,ou les 3 suisses?) et ayant vu que pas mal de filles en portaient ,j'ai dis à ma mere que je la mettrai pas,,et malgré mes protestations ma mere me dit "tu choisis,la blouse ou le Martinet,de toute façon l'un ne te dispensera pas de l'autre",et elle tint parole,car j'ai reçu au moins 20 coups sur mes fesses,et enplus j'ai du la mettre cette blouse ,.Et lorsqu'on avait pas école notre mere exigait qu'on se mette juste en slip et cette fameuse blouse au dessus,ce qui façilita grandement l'utilisation du Martinet,.Ma mere arreta de me donner du Martinet alors que j'approchais mes 15 ans et pour mon frere idem,.Mais malgé tout je n'en ai jamais voulu à ma mere,,quand on y pense il y en a eu des générations qui ont reçus le Martinet par leurs meres!

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  26. Pour moi le martinet faisait partie du"paysage"dés mon enfance.Et pendu bien visible il n'était pas là que pour la déco avec son manche jaune et ses lanieres de cuir,souvent décroché et quelques bons coups bien cinglants nous rendaient sages et obéissants.
    Bien sur on le craignait,mais aussi il était fascinant cet engin qui nous rendait si vite sage,quelle efficacité.
    Puis,prenant de l'age je l'ai vu sous un autre jour: certes ça cuisait et ca laissait des marques honteuses, mais aussi cela me faisait " tout drôle"d'etre fouettée et un jour j'ai ressenti un grand trouble m'envahir : j'aimais cette punition et depuis je regardais "Mon Martinet" d'un autre œil;il m'avait donné un grand frisson inconnu jusque là.Au lieu de detourner les yeux d cet instrument je me mis à le considérer avec un certain amour, allant jusqu'à caresser ses lanières et ,même un jour, les embrasser avec ferveur: j'étais devenue "accro" du martinet. Et j'ai été fouettée ainsi jusqu'à plus de seize ans.
    Et maintenant rien que d'entendre le mot "Martinet"ou d'en voir un me transporte dans un état de grace.Bien sur j'en ai un à la maison,vous dire mon émoi lors de son achat,et il sert parfois,assez souvent même et pour notre plus grande joie à mon mari et moi.

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  27. Je donnerais bien volontiers mes fesses pour reçevoir la même, j'adore la fessée au martinet, par une femme de préférence, mais aussi par un homme

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  28. Après une bonne grosse fessée au martinet,si possible avec de bonne marque suivi d'une bonne série de canne anglaise et pour finir appliquer les orties sur tout le postérieur, je cherche une femme sévère qui me fera ce plaisir, mais c'est pas facile à trouver.

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  29. a14 ans j etais un gamin grasouillet avec de bonnes grosses fesses mes culottes courtes metait en valeur mes longues cuisses nus imberbes au pensiona j avais une surveillante une grande blonde j etais sa bete noire au moindre pretexte elle me faisait voir son martinet chaque semaine j avais droit a ma fessée dans la coure de recreation elle venait me chercher tu me cherches mais non mademoiselle non pas la fessée a coup de martinet elle me ramené a son bureau j en avais peur arrivé dans son bureau devant les copains defais ta blouse viens ici j obeissais le moment le plus humiliant s etais le deculottage quelque fois j enlevais ma culotte et mon slipe blanc devant elle je pleurais mais mon sexe se redressais c est la fessée qui t exite non mademoiselle quelques fois elle se baissé et me deculotté elle faisait claquer son martinet fouettant un fauteuille du mobilier allais ne fais pas de maniere il as pas longtemps que je ne t ai fouetter au jourd hui je vais te fessée comme un gamin je savais ce que je devais faire allonger la tete en bas mes grosses fesses en l air avec sa main elle caressé mes fesses puis avec sa grosse cuisse me bloquée pas trop fort mademoiselle tu peux compter sur moi elle levais sa main et claquais mes fesses ala volée l horrible fessée commencé avec ton gros cul tu as du repondant tu vas avoir une sacrée fessée s etait horible je hurlais comme un cochon allé chante tu aimes sa la fessée je savais qui elle prenait plaisir a me fessée regarde elles son rouge j entendait le bruit de la fessée dans la piece tout

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  30. j ai recu des fessées deculotté en pension et puis du martinet a l epoque s etait courant j avais des surveillantes plus severe que les surveillants celle cie se promené dans les rangs malheure au gamin qui parlé elle atrappé nos blouses les rabataient sur nos tete sur nos cuisse nus le martiné a la main nous etions cinglée sur nos cuisses nus s etait des pleurs des cris a 14 ans j avais de longues cuisse imberbe mon derriere grasouillet tendé mes culottes courtes j etais souvent fessée mes copains m appelait gros cul quand une betise etait faite c est pas moi mademoiselle c est gros cul j etais devenue la tete de turc en pension chaque semaine quelque fois je recevé deux fessées par semaine quand je rentrais chez moi ma mere voyait les marques sur mes cuisses et mes fesses avec ses fessées j avais de bonnes notes mes parents approuvés c est la crainte des fessées qui me faisait travailler

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  31. je suis née en1939 fils ainé d une famille nombreuse ma mere ma don née des fessées j ai ete pensionaire chez les freres ceuci ne fessée pas les eleves nous avions des filles qui avait eté chez les soeurs elle travaillé pour aller a l université elle etaient chargé de nous encadrer celle cie avait un martinet gare a nos cuisses nues avec les culottes courtes les shorts nous recevions le fouet sur nos cuisses nues pour le moindre pretexte nous etions deculotté fessée et fouetté ces filles malgres tout etait maternelle les fessées s etaient naturelle a l epoque apres mon brevet j etais aprentie chderz un reparateur de television la patrone avait recu l autorisation de me fessée elle ne se gené pas je portais un pantalong elle me deculotté je pouvais qu obeire a la maison je finissais mes veilles culotte courte maman voulait que je porte une blouse et un petit short jusqua mon depart a lm armée ma mere et mon pere me fouetté lindependance etait a 21 ans un garcon une fille devait etre soumis a ses parents je partis pour la guerre d algerie les sergents et les adjudan nous traité les jeunes appelées comme des gamins je fu affecté a colomb bechard au sahara vu la temperature 60 degres au soleil nous etions en short quand nous faisions une connerie on allait en talle noujs pouvions faire du rable a cause de la prison l armée nous proposé pour abreger les peines de prison de recevoir une bonne correction nous etions allongé sur une planche attaché le cul nul reposant sur un gros oreiller ainsi on presentais notre cul nul la correction etait ue raclée au ceinturon sur les cuisses et les fesses au poste de police la raclée etait tres cruelle nous etions marqué sur les fesses avec des boursouflures pendant une semaine j ai observé dans les douches des bizutage bite au cirage et pour certain des sodomies s etait surtout des emerdeurs qui etait matée j ai joué le jeu et je suis devenu sergent avec une solde ayant eté dans le civile depaneur de telé et radio j avais ete affecté dans un regiment de transmision j ai commandé des petits jeunes a qui j ai donné des fessées

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  32. Moi aussi ainsi que mon mari nous furent fessés avec le Martinet à maman,et biensur la blouse en nylon obligatoire il va sans dire!,mon frere fut féssé au Martinet jusqu'à ses 15 ans tandis que moi allant en école privée je fus fessée au Martinet jusqu'à mes 18 ans,( du fait deja que les religieuses nous fessaient au Martinet,) et pas en douceur!.Certes le Martinet nous cinglait bien nos fesses,mais les résultats furent la et pas question de trainer dans les rues non plus,sinon ma mere avait vite fait de revenir à ma recherche ( en laissant sa blouse en nylon également!),et j'étais racompagnée par ma mere jusqu'à la maison à grands coups de Martinet dans les rues!A l'époque n'ayant pas l'école les jeudis,et les week ends ainsi que pendant les vaccances,notre mere merçi à nos voisines du quartier avait trouvée une nouvelle façon de faire,c'est à dire moi et mon frere ces jours la,on devaient juste laisser nos slips sous nos blouses en nylon ,mais boutonées au dos ,( que les 4 premiers boutons du haut,ce qui façilitait l'application du Martinet sur le haut de nos fesses,on nous apellait et on devait se mettre en position bien penchés en avant et schlack ça nous tombait,en plus notre mere nous repetait à chaque fois "vous me remerçirez plus tard...en effet nous avons plutot dit merçi lorsqu'on ne l'a plus reçu!Mais meme encore tard dans les années 70 on reçevait encore nombreux le Martinet sur nos fesses!

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  33. Cher anonyme,merçi de ton message,eh oui durant ces decenies c'est vrai que nos meres ne se répetaient pas deux fois,car les lanieres en cuir du Martinet nous tombaient à travers nos fesses à toute volée,et on avait beau crier non maman pas le Martinet,et mettre nos mains devant nos fesses,ça nous tombait quand meme, je dirais meme que ça énervait d'avantage nos meres qui ne juraient que par les bienfaits du Martinet sur nos fesses!.Il est vrai aussi que les blouses en nylon on en a porté aussi,en fait qui n'était pas en blouse en nylon à cette époque ?! à peu près tout le monde!surtout nos meres et nous les garçons et filles,écolieres ou ouvrieres !Je me souviens aussi que pendant nos dernieres années d'école,mon frere et moi agés respectivement 12 et 14 ans nous avions le droit à 2 personnes qui se chargeaient de nous fouetter avec ce maudit martinet,notre mere et notre soeur ainée ,de 17 ans et qui portaient les memes blouses en nylon ,bordeaux à petits pois blancs et boutonées sur le coté avec de grands boutons metaliques blancs et à tour de role nous fouettaient bien nos fesses avec ce nouveau Martinet que ma soeur avait trouvé au marché avec un manche jaune et ses 10 lanieres en cuir jaunes et bien épaisses,et qui nous a bien fait pleurer,.En plus c'était vexant lorsque notre souer ainée agée seulement de 17 ans et qui n'en reçevait plus que depuis 1 an était déléguée pour nous fouetter par notre mere avec ce nouveau Martinet,et nous appelait devant ses copines du meme age qu'elle,en disant allez les enfants pencher vous au dessus de la table de la salle à manger et relevez vos blouses,puis aimant jouer à la petite maman soulevait bien haut son maudit Martinet pour nous le donner à toute volée sur nos fesses ,et cela devant ses copines qui elles rigeolaient,donc oui je m'en souviens bien de cette époque au milieu des années 70!

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  34. cette jeune feme dans la vidéo la fessée est mal donnée le martinet dois etre donné quand les fesses de cette jeune feme a subie une fessée a la main allongée sur les genoux de son fesseur c est tout un art une fessée elle dois etre progressive le deculottage dois etre erotique c est avec le plat de la main que l on fesse il faut rechercher les zones erortiques le martinet dois etre donné quand les fesses son bien rouge on trouve en vente sur le net des martinets de tous type erotique et vrais fessées

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  35. Une bonne fessée au martinet bien donnée, c'est excellent surtout dans un couple. Depuis que je donne régulièrement des fessées à ma copine, tout va mieux. J'ai une autre "amie" qui aime donner des fessées, et je vais la voir souvent et j'adore être couché sur ses genoux, les fesses nues pour recevoir de bonnes fessées au martinet. Dernièrement, ma copine a assisté à une de ces bonnes fessées que je recevais, devinez quoi ? Elle a voulu en recevoir une par ma fesseuse, il ne fallait pas lui demander 2 fois, ma copine s'est vite retrouvée sur les genoux de ma fesseuse la jupe retroussée, la culotte baissée aux chevilles et ses fesses recevant le martinet manié par une main experte. Quel souvenir !

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    1. bonjour Anonyme,
      Et de te voir recevoir une fessée par une autre femme ne lui a pas donné envie de te fesser?
      Dans notre couple la fessée est de rigueur pour l'un comme pour l'autre et ma compagne a tres vite su se servir du martinet , pour notre plus grand plaisir !!

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  36. Dans les années 70 je travaillais comme vendeuse dans une très grand magasin qui vendait toutes sortes de pieces mecaniques et électromenager,et nous étions toutes obligées de porter une blouse en nylon bleue avec de grands boutons blancs devant,en plus j'étais en minijupe et lors de mes regles je mettais aussi une culotte en plastique fermée par des boutons à pression metaliques,et comme il faisait chaud je transpirait dans ma blouse en nylon et culotte en plastique,.Et une fois mon travail terminée j'allais chez ma mere récuperer mes 2 garçons,encore en bas age 5 et 6 ans,et j'aimais les habiller en culottes courtes tenues avec des bretelles élastiques à pinces +une blouse en nylon boutonée dos également,je ne les sortait jamais sans leur avoir mis leurs harnais en cuir bleu avec une longue laisse de 3m,.D'aillieurs c'est comme ça que je les récuperait chez ma mere ,puis on traversait le ville moi en blouse et mes gamins fermement tenus avec leurs harnais en cuir,qu'ils ont portés jusqu'à leurs 7 ans. Une arrivés à la maison,tant que je prepare le souper mes gamins jouaient à table avec leurs legos mais je les attachait solidement sur leurs chaises avec leurs harnais ,en plus leurs harnais comportaient des attaches suplémentaires sur le coté pour pouvoir les attacher aux barreaux des chaises,et moi fort occupé si ils n'étaient pas sages je culbutait leurs chaises eux toujours attachés et je leur baissait leurs culottes courtes et déclipssait leurs bretelles puis culs nus leur donnait une bonne fouettée au Martinet en général c'était 3 coups sur le posterieur de l'un puis 3 coups sur l'autre ,à tour de role quoi,et ayant récuperé le martinet chez ma mere et qui avait servi sur moi ,je l'avais récuperé pour mes 2 gamins qui m'a bien rendu service,puis la fessée terminée je le racrochait avec le trousseau de clefs au mur,!.Bref à ma connaissance toutes les mamans de mon quartier se servaient du Martinet pour leurs garçons et filles ,et lorsque enfin je détachait mes garçons de leurs harnais je les accrochait au porte manteaux dans le couloir avec mes blouses en nylon,et ces harnais m'ont bien été utiles aussi!.Puis je les lavaient et si ils avaient fais pipi dans leurs culottes ,je décrochait de nouveau le Martinet du porte clefs au mur et de nouveau je leur donnait une nouvelle bonne fessée avec le Martinet !,bref le Martinet nous rendait bien service à nous les mamans!.Meme pour sortir le dimanche en famille mes 2 gamins étaient mis dans leurs harnais et une fois arrivés dans la famille je leur laissait ,et j'enlevais juste la longue laisse,que je mettais dans mon sac avec mon Martinet que je prenais soin de prendre avec moi,car au lieu de crier je m'amenais derriere eux et Schlack les lanieres en cuir entraient de nouveau en action,et ils l'ont reçus jusqu'à leurs 14 a,s .Et je trouve que c'était une bonne époque car nos enfants ont été bien élevés,et lorsque je vois ce que font les enfants à leurs parents aujourd'hui ,je me dis ,il faudrait de nouveau resortir les Martinets,car il y en aurait bien besoin!

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  37. moi aussi,j'ai vecu beaucoup d'experiences de fessèes reçues par des femmes...
    je possedais, lorsque j'etais garçonnet une paire de fesses très charnues, amples et rebondies.... il semblait que cette particuliere conformation, plus feminine que masculine attirait les regards des femmes fesseuses... j' aimerais de lire des recits sur ce sujet: garçon aux grosses fesses fessè et humuliè par des femmes moqueuses...

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  38. c est exacte faisant beaucoup de velo j avais un derriere rebondie tres musclé ce qui ma value en pension d etre puniue souvent s etait toujours les ados un peu grasouillet qui etaient fessée j etais fouetté au martinet chaque semaine les surveillantes preferée fouetté les garcons grasouillet je recevé des fessées a la main mon derriere rougissé facilement j avais toujours des culottes courtes arrivant a ras de mes fesses je recevé plus de fessées a la main qu au martinet j etais saisie allongé sur les genoux de la pionne la blouse rabatue sur ma tete deculotté comme un lapin culotte et slipe blanc enlevée sous la fessée j entendais le bruit des cllaques plus je suplié plus j etais fessée certaine me disaient tu as un beau cul tu le sais c est pourquoi on te fesse apres les fessées certaine me consolé m embrassé j etais lleur chouchou elle m offret des bonbons sous ma blouse elle caressé mes fesses et puis elle voyé que j etais en erection tu vois tu aimes les fessées c est pour ca que l on ten donne

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  39. Début années 70 j'allais en école privée pour garçons tenue par des religieuses,qui se'n servaient largement du martinet,d'aillieurs dans chaque classe il y en avait un sur le bureau,en plus nous étions tous habillés pareils,culottes courtes en tergal bleu marine avec boutons à l'interieur pour y accrocher nos bretelles à pattes de cuir,la blouse en nylon longue bleu marine aussi et le beret ,il fallait le mettre dès qu'on sortait.En plus nos cheveux ne devaient jamais dépasser 5mm d'épaisseur bref on étaient aussi bien tondus,et cela de 7 à 16 ans! Meme dans le dortoir il y avait une bonne sœur qui avait son bureau avec son lit et plusieurs martinets accrochés au mur ,prets à l'emploi.Ils avaient de larges lanières en cuir épais jaunes et sentaient fort le cuir neuf,par conséquent nos postérieurs étaient souvent chauffés par leurs maudits martinets car c'est cul nu qu'on le recevait meme arrivé à l'age de 15-16 ans.Et à la maison c'était pareil avec ma mere qui était convaincue des bien faits du martinet,et je devais continuer de porter ma blouse et culottes courtes avec ses maudites larges bretelles ,et s'est elle qui me les tendaient,bref arrivé donc à 16 ans j'en avais marre d'etre obligé de porter blouse,culottes courtes et brtelles et le beret,mais on ne moufftait pasà cette époque !

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  40. moiaussi j/aieu droit à lafessee au martinet par matante et sa copine bien que sois un garçon j/etais obligè de porter une jupe très courte,ce qui facilitait l/action du martinet bien cinglant à lanieres longues et èpaisses sur les cuisses et les fesses j/aiegalement reçu la fessee aux orties l/ete.J/adorais beaucoup cela vive le martinet les shorts et les jupes courtes merci matante.J/aime beaucoup etre fouette par les nanas

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    1. Bonjour Anonyme,
      Dur d'etre fouetté(on devrait dire fouettée puisque tu étais en jupe)par sa tante et une de ses amies!
      Et tu as aimé cela très vite ,vers quel age?
      Moi aussi le martinet m'a toujours fasciné,déja chez les copains puis à la maison quand il est arrivé,pour mes sept ans!
      Et ma mère ne se privait pas de me cingler les cuisses avec.
      Moi aussi comme beaaucoup de garçons j'ai essayé la lingerie de ma mère et ses jupes mais je n'ai pas éte fouetté alors. J'ai du attendre d'etre en couple pour que ma compagne me féminise et me fouette quel régal!!!!!!
      Bien à toi de Jean

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    2. Bonjour Jean
      Comme tu as de la chance d'avoir une compagne qui te féminise et te fouette,mon rêve!!!
      Bien sur je porte,en cachette,des sous vêtements féminins mais c'est très loin de ce que je voudrais!!
      Tu as beaucoup de chance.
      Patrice

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    3. Bonjour Patrice,
      Oui j'ai sans doute de la chance,.....mais cela peut aussi se provoquer !
      pour ma part le martinet familial devint assez vite un objet érotique pour moi :il me rendait tout chose et j'avais des "envies"dans mon slip malgré la cuisson de mes cuisses!!
      Et devenu adulte je recherchais cette sensation si bonne;et naturellement je suis allé,quel trouble,acheter un martinet,bien sur au début je le cachais mais avec une"amie"un jour nous avons parlé de nos éducations et j'ai vu,ou cru voir?,une lueur interessée .
      Prenant mon courage à deux mains j'ai volontairement laissé trainer mon martinet lors de sa visite suivante.......
      La suite fut très interessante et depuis elle prèfère me fouetter en fille et je trouve cela super!
      Essayes de te procurer un martinet et n'hésite pas a en parler avec des amies proches,bon courage .

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  41. en pension a 15 ans je fus punis pour avoir volée de l argent dans la salle des profs je fu enfermé pendant 4jours au cachot tous les jours je recevé deux corrections par jour le matin et le soir apres une fessée manuelle je recevais 50 coups de martinet j etais habillé d un petit short marine de gymnastique si court qu on apercevait mon slipe blanc mes parents etaient d accord pour les punitions s etait ca oul e renvoie du pentionna mes fesses pendant 4 jours n on pas eu le temps de se refroidir s etait la directrice du college est une surveillante qui me fouetté a tour de role je n ai jamais recu de claque sur la figure a cette epoque on consideré que le martinet etait ideale pour les enfants on ne peux blesser un gamin sur les fesses je n ai plus volé

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  42. Je me reconnais dans tous ces témoignages,car au début des années 70,ma mere m'avait mis dans une école privée pour garçons,et la blouse en nylon bleu-marine ainsi que les culottes courtes tenues par des bretelles étaient obligatoires ainsi que le beret pour sortir!.Quant au martinet,ma mere comme la plupart en avait un pendu dans la cuisine à la vue de tout le monde,et dès la moindre betise ma blouse était relevée et "schlack" les lanieres en cuir du martinet me cinglaient mes fesses,pour des choses plus graves la,c'était en plus la culotte et slip baissées et la je le reçevais sur mon posterieur à toute volée ,après quoi j'avais du mal à m'asseoir pendant plusieurs jours ,en plus quand arrivait des gens chez nous et voyant que j'avais mis un coussin sur la chaise pour m'assoir,ma mere rigeolait en disant " ah c'est normal il a reçu une bonne fessée au martinet n'est pas mon cheri ,tu l'aimes bien le martinet à maman n'est pas!,et je piquais un phare.De plus dans cette école privée notre institutrice ,une fille dans les 25 ans dans ses longues blouses blanches en nylon et boutonées sur le coté et lui arrivant sur ses chaussures en cuir à talons plats,elle e était très mince et très grande avec un chignon alors elle tout les garçons y compris moi mes nous avions tous peur d'elle,car lorsqu'on écrivait elle voulait nous voir couchés sur nos cahiers et gare si quelqu'un relevait la tete elle aussi elle nous soulevait nos blouses et descendait nos culottes et slips à terre en prenant soin de mettre nos bretelles enlevées sur son bureau,et pour nous vexer devant toute la classe nous faisait allonger sur nos pupitres ,puis c'était 10 bons coups de martinet bien appuyées malgré son apparance fragile,de plus nos bretelle étaient remises qu'au soir à nos meres à la sortie d'école ,ce qui signifiat une belle fessée en rentrant à la maison,ce régime à duré jusqu'a mes 15 ans bref à cette époque on était constament sous le regne du martinet ,à la maison comme à l'école!

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  43. Etant enfant , dans les années 75 , je recevais souvent la fessée par ma mère . les fessées étaient sévères , appliquées sèchement sur le derrière des cuisses et sur les fesses déculottées . Vers l'âge de 8 -10 ans , j'avais peur du martinet qui était accroché dans la cuisine , puis vers 11 - 13 ans , je l' aimais et j'aimais recevoir ces corrections pourtant douloureuses . Alors que plus jeune , j'avais honte quand ma mère parlais à ses amies des fessées que je recevais , en grandissant , j'éprouvais un plaisir trouble à ces situations humiliantes . Ma mère m' a plusieurs fois fouettée devant une copine de classe ou une voisine . Cette éducation m' a beaucoup marquée et a influencé ma sexualité ; aujourd'hui , j'ai 40 ans et je suis masochiste ;j'aime être humiliée , j'aime quand mon mari me gronde en me tenant par l'oreille , j'aime quand il me fait mettre à genoux devant lui , j'aime être fouettée très fort sur les cuisses et les fesses , j'aime embrasser les lanières de mon martinet .
    Claire

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    1. Bonjour Claire,
      Comme votre récit m'a troublée!J"étais toute émue et je me voyais dans vos propos!
      Comme pour vous ma mère était très sévère et j'ai connu le martinet très vite comme vous vers mes huit ans ,et si il était bien visible de tous il n'était pas là pour la déco!
      Si le martinet était très utilisé à notre époque j'avais des copines de classe qui n'en avait pas chez elles :au début je les enviais puis petit à petit voyant leur air effrayé devant cet ustensile de punition qui me rendait si sage je me suis prise d'un sentiment de superiorité et le martinet est devenu plus "sympa"surtout quand une copine me posait des questions à son sujet!
      Et puis il faut bien nl'avouer j'aimais cette soumission à mon martinet et quand je le recevais cette chaleur provoquée par les lanières me faisait "tout chose"et que dire quand je devais le présenter humblement à ma mère pour être fouettée surtout si une amie était là!Le summum fut le jour ou elle me fouetta devant mon petit ami et j'avais quinze ans!!!!
      C'est pour cela que moi aussi j'aime quand mon mari me fouette,avec le martinet de mon enfance je suis alors toute "humide" et j'aime ça!
      Pour embrasser les lanières de mon martinet je l'ai fait la première fois je devais avoir douze ans quel plaisir j'ai ressenti!!!
      A bientôt chère Claire ,Bises de Benedicte
      Benedicte

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  44. Bonjour Bénédicte ,
    Je pense que nous avons reçu le même genre d'éducation .Ma mère était très exigente ,ce que je faisais n'était jamais assez bien ,je ne me tenais jamais assez
    correctement ,et ma mère sévissait souvent .Les corrections étaient donc fréquentes et très dures .Je devais obéir au doigt et à l' oeil ,te au moindre manquement ,le martinet était là pour me remettre dans le droit chemin .Les punitions n'étaient pas longues ,mais sévères : six à douze coups appliqués très fort sur les cuisses ou les fesses nues .Parfois ,je supportais sans rien dire , parfois, je pleurais tellement ça faisait mal .Vers l'âge de onze ans ,je me suis aperçue que j'aimais vraiment avoir mal . Un jour ,pendant que mon conjoint me fouettait ,je lui dit de frapper plus fort ,que maman frappait plus fort; il m' a répondu
    '' Claire ma Chérie , tu es vraiment folle '' ma mère avait un caractère dominant et moi j'étais une enfant soumise ;elle disait que j'avais besoin d'être dressée ;ça a beaucoup influencé ma sexualité d'adolescente et d'adulte .
    Bénédicte je vous embrasse
    Claire

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  45. comme la plus part des enfants de notre èpoque nous avons été mon frère et moi éduqués avec le martinet ,nous avons eu une éducation stricte et aussi aimante à la fois .à la maison il fallait obéir ,nous étions récompensés quand nous le méritions et punis quand nos parents le jugeaient utile .pas de gifles ou autre punition ,la sanction c'était le martinet.il était redoutable et bien cinglant ,mes parents avaient un ami cordonnier qui en fabriquait , ce martinet avait moins de lanières que ceux que l'on trouvait dans les autres commerces mais il cinglait et zébrait bien nos fesses et cuisses, cet ami cordonnier en vendait beaucoup .heureusement que nos fouettées n'excédaient guère qu'une petite dizaine de coups de martinet car sinon nos fesses et cuisses auraient été très douloureuses .mon frère et moi faisions disparaître le martinet en espérant que nos parents se décourage de le renouveler,ce fut une peine perdue car à chaque disparition un nouveau martinet revenait, nous avons une fois pour nous faire comprendre que le martinet serait toujours utilisé pour sanctionner nos mauvais comportements ou fautes étaient obligés d'aller honteusement acheter le martinet chez l'ami cordonnier ;
    a chaque renouvellement de martinet nous avions le droit de le tester dés le retour du bureau de notre père qui avait à la maison le rôle du père fouettard .ils étaient tous aussi cinglants les uns les autres .nous avons été fessés assez tardivement (17,18 ans),à la puberté malgré la honte de recevoir toujours le martinet et la douleur de la fessée ,je ressentais une certaine excitation à recevoir le martinet, mon père ne se rendait pas compte de l'effet que me donnait la vue et la reception du martinet car à partir de nos 12,13 ans il ne nous baissait plus le caleçon ,il nous fouetter sur les cuisses en prenant soin simplement de relever le bas du caleçon, sinon il aurait surement arrêté l'utilisation du martinet plus tôt
    vu l'efficacité de ce martinet je ne recherchais la sanction mais je me suis découvert une fascination et j'aime encore recevoir quelques fouettées avec le martinet ,mon épouse réticente au début manie très bien le martinet et sait me faire provoquer du plaisir
    pierre louis

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  46. Lorsque j'étais adolescente vers mes 16 ans,et que ma mere m'avait mise dans une école tenue par des religieuses,qui ne me plaisait pas du tout,car elles se servaient largement du martinet sur nos fesses et pas en douceur !De plus c'étaient nos tenues surtout et malgré que nous étions en 1973,en plus des fessées au martinet,on devait toutes porter la meme tenue,à savoir chemisiers blancs à grands boutons devant,la cravatte,longues jupes plissées bleues marine à larges bretelles ,longues blouses en nylon bleue marine et le beret également. pour sortir,en plus il y avait cette voisine pas sympatique du tout une vrai mere fouettarde,du matin au soir elle avait le martinet en main et dont sa fille allait à la meme école que moi !.En plus elle collectait toutes les autres filles qui allaient à cette école en passant dans notre rue ce qui faisait nous étions une dizaine conduite par cette megere ,car elle nous suivait toujours dans ses hyper longues blouses en nylon et son martinet en main nous donnant de temps en temps des coups sur nos jambes pour nous faire avançer!.De plus arrivées à notre age etre obligées de traverser la ville vetues comme des grands meres et grandes en tailles et reçevant le martinet en plus dans la rue non seulement on avait mal mais c'était vexant.! .Deja que ma mere continuait à me fesser avec le sien de martinet ,en plus dans cette institution privée dans toutes les classes il y avait un martinet sur le bureau des professeurs feminins,et elles aussi étaient en permanance en blouses en nylon bleue marine comme nous,et dès qu'elles aperçevaient quelque-chose qui ne leur convenait pas,on était appelées à leurs bureaux surmontés pour mieux voir et la nos blouses en jupes étaient retroussées par dessus nos tetes,et devant les autres copines de classe on était fouettées avec force sur nos fesses,et au bout de 10 coups bien appuyées on avait du mal à s'assoir sur nos bancs en bois! Nous les filles agées de 16-17-18ans nous nous plaignons de ces fessées à nos meres ,mais il n'y avait rien à faire elles nous répondaient ,c'est parceque vous l'avez meritée!alors en plus nos tenues ,car arrivées à 18 ans etre obligées de mettre encore ces longues jupes plissées à larges bretelles,Longues blouse en nylon ,le beret et j'en passe on en avait marre en plus pour le dimanche c'était la meme tenue,par conséquence oui,nous pouvons témoigner comme quoi le martinet nous l'avons bien connue toutes et arrivées en 1975 à 18 ans et enfin se débarrasser de tout cet attirail ,ouf merçi aspro,mais à l'époque c'était le norme!

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  47. Dans les années 60, je travaillais dans une ferme, les patrons avaient une servante de 19 ans, orpheline qu'ils corrigeaient souvent au fouet à cheval; Ils aimaient la pendre par les pieds nue dans la grange pour ça, elle avait une grosse poitrine et elle prenait de sévères dérouillées. Ensuite détachée, mise à 4 pattes, la patronne disait à son mari, "Bourre la cette truie, encule la bien". Il arrivait aussi qu'il lui fasse sucer le cheval; la fille portait en permanence des marques de coupset devait obéir à tous leurs nombreux caprices sexuels, les gifles tombaient à tour de bras, elle devait les servir à table les seins à l'air pour prendre du martinet dessus. Elle en a bavait pendant 10 ans

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  48. Dans les années 70 on se servait largement aussi du Martinet,car nous habitions dans une rue dans le Nord,à coté d"une tante qui avait une fille Clothilde agée de 15 ans et chaque Jeudi lorsqu'on avait pas école,elle me prenait ainsi que 2 garçons de mon age 13 ans et elle nous faisait l'école dans une piece amenagée avec 1 tableau d'école et 3 anciens pupitres.Elle nous faisait donc des cours ,c'est vrai qu'elle travaillait bien à l'école mais nous beaucoup moins bien.Ce jour la on ne mettait pas nos blouses en nylon et elle non plus d'aillieurs ,mais elle gardait sa longue jupe grise plissée à larges bretelles boutonées devant par 2 grands boutons,son chemisier et ses longues chaussetes blanches qui lui arrivèrent aux genoux,quant à nous 3 les garçons en rentrant dans cette piece ammenagée on devait enlever nos culottes courtes tenues par des bretelles à clips et nos slips bref on étaient tous les 3 nus comme des vers meme qu'on mettait nos mains devant pour cacher nos parties intimes ,mais elle criait en disant enlevez vos mains je sais qu'est ce que c'est un zizi!,et arrivés en maths ou nous tous les trois on étaient très mauvais,elle nous disait ,mais vous etes vous les garçons de vrais cancres,et elle se mettait devant nos pupitres en gonflant sa poitrine deja bien formée en plus cela faisait resortir ses larges bretelles ,puis on devait se pencher sur les pupitres d'école et elle nous fessait avec le martient de la maison ,chacun son tour au minimum 10coups en nous disant peu etre que le Martinet va vous remuer vos méninges!.En plus elle nous avait confectionée 3bonnets d'ane en carton qu'on devait mettre sur nos tetes,des fois meme toujours en nous reprochant que nous étions 3 idiots elle nous faisait mettre debout en nous tenant par le bras et de nouveau schlack les lanieres du Martinet nous cinglait de nouveau nos posterieurs!.Des fois sa mere, la mienne et celle des autres 2 garçons passaient pour voir comment ça se passait ouvraient la porte toutes les trois dans leurs maxi longues blouses en nylon en riant et disant ,ah mais on vois que ça va bien car clothilde les a bien pris en main,et cela a encore duré 1 an,mais en plus de la douleur des lanieres du Martinet c'était quand meme vexant de se faire fesser au Martinet par une fille qui n'avait que 2 ans de plus que nous,meme des fois lorsque je la regardais devant nos pupitres,avec ses bretelles tenues par 2 boutons je me disait je voudrais bien que ses 2 boutons qui tenaient ses bretelles lachent on rigolerait mais helas ce n'est jamais arrivé!. Par conséquent arrivé chaque jeudi matin on en avait peur!

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  49. meçi cher anonyme pour ton témoignage mais ça serait bien que quelqu'un puisse mettre un ou deux dessins se votre classe improvisée ,la fille avec sa jupe à bretelles et elle qui vous fesse avec le martinet,dans cette classe improvisée,malheureusement je ne sais pas dessiner ni l'envoyer sur le site,c'est dommage car ça serait instructif de le voir dessiné

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  50. Moi qui n'a pas connue cette periode de blouses en nylon et de fessées au Martinet,j'ai toujours revée d'en posseder un jour des belles blouses en nylon et un bon Martinet qui fait mal,et avec Internet j'ai pu m'en procurer et de belles et longues blouses en nylon,et aussi plusieurs Martinets,pour me fesser seule avec,car habitant en appartement seule je suis tranquille! une de mes blouses en nylon préfèrée et une très longue qui me tombe sur mes pieds en nylon couleur vert herbe et avec 14 grands boutons en plastique et une ceinture qui va avec et que je porte chez moi,quant à mes Martinets achetés aussi sur internet mon préfèré et celui qui a un gros manche en bois blanc et d'un diametre de 3cm et long de 40cm avec ses lanieres plates larges de 1cm et longues de 60cm 14 lanieres en cuir rouge au total de quoi discipliner tout un regiment de garnements!.Seulement au début je ne savait pas bien comment me fesser seule ,et je m'y prenais mal .Au début je me fessait sur ma blouse en nylon certes je sentais les lanieres en cuir mais pas trop ma blouse faisant couverture,puis après je retroussais ma blouse et me penchait sur une table haute,et en frappant fort la je les ai bien senties les lanieres en cuir sur mon posterieur,.Mais le probleme c'est qu'avec mon grand et long martinet de 1 metre de long et avec ses 14 lanieres de 60cm je me cinglait serieusement et mon posterieur et mes jambes au point que que ça laissait des traces bien prononcées ,donc je devais mettre des pantalons,mais enfin je suis devenue une grande fille maintenant surtout lorsque j'ai du mal à m'assoir tellement les lanieres du Martinet m'ont fait mal ;mais quel plaisir!!

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  51. Bonjour à vous,
    Ce matin nous sommes allés,mon mari et moi, acheter un martinet pour .......me corriger!Comme une gamine de jadis !
    Il faut dire que j'ai été particulièrement insolente et désagréable ces derniers jours,et comble de la désobéissance j'ai"oublié"de prendre le martinet de la maison!
    Donc nous voici cherchant dans ce lieu de vacances une grande surface ou une animalerie vendant cet objet;nous avons fini par trouver et bien sur j'ai du passer en caisse tenant le martinet en main et sans autre achat,la honte, surtout que mon mari avait exigé que je mette une petite jupe toute courte et ample,j'avais donc mes cuisses pretes pour le martinet et il l'a dit aux autres personnes qui attendaient leur tour.
    Cette honte qui fait rougir mais qui aussi est si bonne quand on ne connait pas les gens présents;j'avais des frissons partout et une fois sortie je me suis blottie dans les bras de mon chéri !!
    A bientôt pour la suite ,si vous le voulez

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    1. Bonjour Danielle,
      Ainsi tu es encore"corrigée"au martinet comme une gamine désagréable et désobéissante?
      Tu as quel âge?tes parents te punissaient ils ainsi?
      Le martinet est il seulement punitif ou est ce le début de choses plus érotiques?
      Merci de me répondre si tu le veux bien sur.
      Bises d'une femme soumise aussi au martinet conjugal pour notre plus grand plaisir!

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    2. J'imagine bien ton excitation de passer à la caisse avec un martinet avant de... passer à la casserole ! Moi aussi j'aime emmener ma copine acheter un martinet, surtout si elle est en minijupe. Nous retournons vite chez nous pour essayer notre nouvel achat, et les fesses de ma copine sont bien rougies. Depuis que je lui donne des fessées au martinet, elle est plus amoureuse !

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    3. Je vois bien la scène de l'achat,pour y avoir été confrontée souvent!Instant super excitant avec la honte en prime et une rougeur des joues!
      Puis comme pour vous l'essai très rapide de ce nouveau jouet;un jour mon mari l'a essaye dans le supermarché et j'ai fini les courses sous la menace des lanières:l'extase !
      Et effectivement comme tu le dis avec le martinet on devient très amoureuse et obeissante,prête à tout pour son homme si sévère,
      Bises à vous de Benedicte

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  52. Merçi pour tous ces témoignages de féssées au Martinet toujours données par nos mères,Et c'est vrai toujours elles étaient dans leurs longues blouses en nylon !Moi en 1974 comme garçon et agé de 14 ans et une soeur de 12 ans,d'abord notre mere nous a habillés pendant longtemps de la meme maniere tous les deux,c'est à dire culottes courtes marron en tergal,avec bretelles à pinces marrons et blouses en nylon beiges boutonées sur le coté+un beret marron également !Quant à notre mere elle était très élégante ,et des le matin elle était toujours bien coiffée,maquillée,et en blouses en nylon blanches boutonées sur le coté que sa soeur pharmacienne lui donnait,de plus c'est bas étaient toujours bien tendus grace aux jartelles de son corset rose saumon.Maintenant le Martinet était mis en haut du buffet de la cuisine incorporée et on voyait le manche en bois et les belles lanieres en cuir marrons clairs dépasser,mais il était hors de notre porté!.C'est vrai qu'on avait peur des fessées bien appuyées au Martinet données par notre mere,mais en meme temps il nous fascinait et meme jusqu'aux nos 16 ,ma soeur et moi avons été fouettés par la Martinet à maman,mais malgré la douleur et les traces et le fait que nos fesses ou posterieurs étaient endoloris et qu'on avait du mal à s'assoir aprèe,quelque part on aimait etre traités ma souer et moi comme un gamin et une gamine!.C'est comme lorsqu'elle nous attendait dehors en avançant sur le trottoir quand on sortait de l'école et qu'elle commençait son fouettage dehors puis à l'interieur dans sa belle blouse blanche en nylon et qu'elle nous déboutonait les notres puis nos culottes courtes et bretelles et qu'on devait se mattre à plat sur la table de cuisine et qu'on entendait les grands schlacks des lanieres sur nos posterieurs et que la douleur était vive,on aimait etre considerés toujours comme des enfants,,tout comme lorsque ça lui prenait de nous tondre nos tetes avec sa tondeuse électrique ,et qu'à l'été la porte de devant restée ouverte les voisines pouvaient non seulement entendre les lanieres s'abattrent mais elles pouvaient nous voir le cul en l'air,certes on a eu mal mais aprèe 16 ans et donc passés l'age de reçevoir le Martinet il manquait quelque chose ,tout comme des fois à force de nous fesser avec son Martinet elle était obligée des fois de retendre ses bas ,et elle soulevait sa blouse,jupe et retirait sur ses 6 larges jartelles roses pour avoir ses bas impecables,bref il y a un peu de nostalgie !

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  53. Cher anonyme merçi de ton témoignage,je ne peux qu'etre d'accord avec toi car moi aussi durant les années 70 et comme fille meme agée de 16 ans et allant dans une école privée de religieuses,deja notre tenue obligatoire c'était chemisier blanc à grands boutons bleue-marine-la longue jupe plissée avec bretelles boutonées et enfin aussi la blouse en nylon bleu marine et longue et le beret et jusqu'à nos 18 ans !!Quant au Martinet pas de chance pour moi ma mere tenant un magasin de jouets en vendait également et bien entendu elle était en permanance dans ses hyper maxi longues blouses en nylon blanches boutonées dos ,que je devais lui boutonner,en plus comme elle était forte et grande elle devait mettre également un corset en coutil avec jartelles et bas fonçés comme beaucoup de femmes en mettaient à l'époque.De plus mon école n'était qu'à 5mn du magasin mais ma mere tenait à me conduire aller et retour 4 fois par jour!et souvent avec son Martinet en poche au cas ou..Oui je me rapelle que j'en ai reçue des coups de Martinet sur mes jambes et fesses dans la rue sans compter les fessées avec son Martinet si je ramenais des mauvais bulletins scolaires ,la c'était cul-nu et au minimum 15 coups bien appuyés ,après ça j'avais du mal à m'assoir pendant plusieurs jours...Sans compter que les religieuses elles aussi se servaient largement du Martinet en classe ou dans la cour de récréation bref oh oui ! je me souviens encore du Martinet,mais à l'époque c'était quelque chose de banal et je pense au rythme que ma mere en vendait nous devions tous et toutes etre fessés ainsi,en faite une maison ou une maman sans Martinet ça aurait meme semblé bizarre ?!

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  54. jìaimerais beaucoup de lire des autres histoires concernantes tea experiences..... surtout a propos de l'humliation que tu as eprouvèe en montrant ton gros derriere a une femme....

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  55. Habitant dans un coin perdu en montagne ,c'est ma femme qui en eu l'idée car à l'usine ou elle travaille ily a des filles qui se sont tondues la tete à la tondeuse et en plus qu'elles portent des longues blouses blanches boutonées sur le coté par de grands boutons ça resort d'avantage!Donc j'ai du tondre la tete à zero à la demande de ma femme et elle aussi avec sa blouse c'est vrai que ça fait sexy,et du coup elle m'a convaincu aussi de me faire une boule à zero et de mettre une blouse également maintenant pour le travail et la maison ,la nous avons commencés aussi à acheter et se sservir du martinet sur nos fesses et posterieurs ce qui donne du zest aussi !bref nous voila retombés en enfance mais c'est tellement agréable!!..

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  56. j ai connu en 1950 la pention s etaient des soeurs a l epoque pour les garcons culotte courtes a bretelle qui arrivées a ras des fesses les soeurs nous en cadré martinet en main nous etions en blouse noires le garcon qui etait punis etait habillé en slipe sous la blouse j etais un gamin grasouillet les soeurs aimaient me fessée javais beau suplié je recevé le longues fessées sur leurs genoux0 qulque fois s etait deux soeurs qui me fessée une troisieme apres me fouetté avec son martinet mes pauvress fesses etaien rouge et strié de marques je fu fouetté surtout a cause de mon gros culje fu comme monsieur vergiani fouetté apartire de 13 ans les soeors s appercurent qu exsité j etais en erection elle me dire tu aimes les fessée je protesté en vain chaque matin nous allions a la messe je me mis a me masturber je fus surpris au dortoire elle me sortire de mon lit et me fouettere au martinet je fu particulierement surveillé a cette epoque pour un adolescent se masturber etait un pecher mortelle j etais confessé par un aumonier qui me posa des questions indiscrete il sortit une cravache et me cingla les fesses plusieurs coups tombere sur la raie de mes fesses certains coups cinglere le bas de mes couilles quand je reviens les soeurs vinrent que j avais du mal a marcher au dortoire elle m examinere et me soigneres avec de la pomade elle engeulere le curé en disant que seule la fessée et le martinet etait autorisé surtout pas de claques sur la figure ni de flagelation du sexe la fessée et le martinet etaient sans danger pour les enfants je quittais cette pention a 15 ans dans ma famille ma mere ma fessée jusqua 18 ans je fus fouetté souvent devant ma petite voisine qui avait mon age elle aussi etait souvent fouetté par sa mere tous se que je sais c est qu au moment de ma puberté etant grasouillet je fus selectioné par les soeurs qui prenaient plaisir a me fouetter d ailleur elle me le disaient toi tu a un bon gros cul fait pour les fessées et le martinet

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  57. Ma soeur et moi ( garçon) dans les années 70 nous vivions à 5 donc moi ,garçon,ma soeur,ma mere ,couturiere à domicile ,notre pere ingenieur et notre grand mere qui avait vendue une de ses maison et qui habitait avec nous !Quant à moi et ma soeur ,donc nous n'étions pas sans rien et de ce fait notre mere nous avait mis ma soeur et moi dans une école privée tenue par des religieuses!D'abord comme vetements de tous les jours moi comme garçon c'était culottes courtes très remontées grace aux bretelles "style grand pere à pattes de cuir à boutons " la blouse en nylon verte olive longue et boutonée sur le coté par 10 grands boutons verts en plastique + un beret noir sur la tete,Quant à ma soeur pour elle c'était un chemisier à grands boutons ,une jupe assez longue plissée bleue marine à larges bretelles ,la blouse en nylon comme moi et le beret comme moi !Notre mere etant couturiere était en permanance en longues blouses blanches également en nylon et boutonées devant aussi par de grands boutons blancs et notre grand mere la meme chose !De plus il y avait donc 2 femmes à la maison pour nous fouetter nos fesses quand ça ne marchait pas droit avec leurs martinets dans leurs poches de blouses en permanance,( martinets d'aillieurs qu'avait fabriquées notre mere avec des lanieres en cuir épais et 50cm de long qui nous faisaient très mal à nos fesses.meme pour sortir on était toujours accompanés moi et ma soeur soit par notre grand mere ou notre mere!Et elles laissaient leurs blouses tout comme nous d'aillieurs et leurs maudits martinet en poches ou en main dans les rues ,et cela dura jusqu'à nos 18 ans ,jusqu'à notre fin de scolarité finie! Bref avec elles "il fallait marcher droit !Sans compter que pour moi garçon ma tete était toujours bien rasée grace à la tondeuse électrique de la maison . Et du faite qu'on habitait à la campagne lorsqu'on sortaient on était toujours habillés de la meme maniere ,et meme lorsqu'on visitait la famille toujours la meme tenue et biensur les 2 martinets suivaient aussi,.Meme à l'école les religieuses avaient le droit de nous fesser au martinet aussi donc AIE nos pauvres fesses!!.Dons tous les jours c'était la meme chose notre grand mere nous conduisait ( tous les 3 en blouses ) et avec son martinet en poche et au soir elle revenait nous chercher toujours en blouse et son martinet en poche ou si on marchait ma soeur et moi trop vite ou si on ne se donnaient pas la main SCHLACK les lanieres en cuir nous tombaient sur nos pauvres fesses!Et pas question de se plaindre sinon on avait le droit ma soeur et moi à une deuxieme tournée de nouveau ,mais lorsque j'y repense pour les autres garçons et filles c'était la meme chose!Enfin cette mode de discipline a completement disparue,Quoique j'ai lu sur internet que certaines écoles pratiquaient de nouveau ,le port de la blouse obligatoire et la fessée au martinet sur les fesses ,il parait meme que cette methode s'amplifie de plus en France ,bref on emploi les bonnes vielles méthodes ?!

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  58. sabimas il existe en france des pensionats qui avec l accord des parents reviennent au veille methode d edu cation cheveux court culotte ultra courte jupette la fessée cul nul au martinet est retablie l emploie de raquette de ping pong pour la fessée les chatiments du martinet sur les cuisses nus ce pensiona a des resultas brillant au bac c est l emploie de la fessée qui stimules les eleves certains interna privéé ou religieux recoure de nouveau a ses methodes les martinet sont fournis par des cordonniers qui fabriquent des martinet tres efficase

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  59. sabimas il existe en france des pensionats qui avec l accord des parents reviennent au veille methode d edu cation cheveux court culotte ultra courte jupette la fessée cul nul au martinet est retablie l emploie de raquette de ping pong pour la fessée les chatiments du martinet sur les cuisses nus ce pensiona a des resultas brillant au bac c est l emploie de la fessée qui stimules les eleves certains interna privéé ou religieux recoure de nouveau a ses methodes les martinet sont fournis par des cordonniers qui fabriquent des martinet tres efficase

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  60. d autre pensiona v ont ce remetre au eleves avec uniforne un retour de la fessée sera de nouveau a l honneur avec l accord parentale aucune loi en france empeche l utilisation de la fessée

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  61. mon petit neveu qui travaille mal a ete place dans un pensiona severe deux fois par semaine il est deculotté les surveillante le fesse cul nul quelque fois il recoit le martinet le gamin a bien progressépour eviter d etre fessee grace a la fessée il vas reussir ces etudes pour les enfants desobeissan t fainiant la fessée est excellente pour faikre travailler les ados c est donc que la metholde a fait ses preuves en france la fessée n est pas interdite les juges pour enfants la recommande les fessée evite aux jeunes la prison certaine pension d adolescentl utilise

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  62. En lisant tous ces récits sur ce site ,en fait je m'aperçois que c'était courant que toutes nos meres aient un Martinet à la maison et qu'elles s'en servaient largement sur nos fesses ou posterieurs!,Garçons et filles et cela jusqu'à notre Adolescence !Voila pourquoi moi aussi je relate comment moi aussi j'ai été fessé avec des Martinets par ma mere également!En plus malheureusement j'étais bien plaçé ,ou mal placé ,car ma mere tenant un Magasin de Jouets ,vendait également des Martinets qu'elle plaçait bien en évidence dans la vitrine,!Je la revois dans les années fin 70 en longues blouses blanches boutonées dos à genoux en train de bien les exposer dans sa vitrine,et lorsqu'elle reçevait de nouveaux ,elle ne tardait pas à les "essayer " sur mon train arriere,car comme cela à été dit avec justesse nous étions tous et toutes en permanance en blouses en nylon,et lorsqu'arrivait les jours sans école,( jeudi-samedi-dimanche),la c'était pour moi juste en slip et ma blouse en nylon ,point ,!car cela façilitait mes fessées au Martinet qu'elle me donnait,elle n'avait qu'à me soulever ma blouse tirer sur mon slip ,me culbuter soit sur une chaise ou meme dans le magasin sur une étagère et les lanieres en cuir du Martinet me tombaient sur mon posterieur nu !.D'aillieurs combien de fois quand ma mere me fessait avec ses Martinets Il arrivaient des clientes ,donc d'autres mamans qui venaient acheter un jouet pour leurs Garçons ou Filles,et voyant ma mere me fesser au Martinet ,et en meme temps donnant un coup d'oeil dans la vitrine du magasin ou il y en avait des Martinets avec leurs belles lanieres en cuir bien exposés,,pratiquement à chaque fois elles achetaient en meme temps un beau Martinet du magasin de ma mere,!Alors des fois certains enfants pleuraient en disant " non maman pas de Martinet" Ce qui laissaient froid leurs meres ,ou encore ,des mamans qui demandaient ,dites madame est ce que je peux l'essayer svp,ma mere répondait "je vous en prie madamen,le plus interressant c'était quand c'était des filles sur qui on essayaient le nouveau Martinet ,car leurs jupes étaient soulevées et leurs slips descendues et dès que la fessée commençait et que les lanieres commençait à tomber sur leurs posterieurs,elles faisaient ,GRR!WIN WIn GRR!puis non maman arrete pas de Martinet non!,mais le'essai ayant été concluant le Martient était acheté!Meme certaines meres leurs faisaient porter par leurs enfants leurs Martinets à la main pour repartir chez eux dans la rue!Et question de vente mamere avait une bonne vente de Martinets ,tous les mois il passait la camionette du fabricant de Martinets qui faisait sa tournée et ma mere lui en prenait 100 tous les mois ,par moments vu la vente qu'elle avait elle était obligée d'en prendre plus ,J'ai meme entendu que ce monsieur fabriquant de Martinets avait une bonne clientelle,en vente de ses maudits ustençils à tous les marchands de jouets !

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  63. Elevé par ma mère dans les années "soixante", j'ai connu le martinet entre 11 et 16 ans. A l'époque, la plupart des familles en possédait un et n'hésitait pas à s'en servir. Il s'appliquait sur les fesses nues ou sur la cuisses bien dégagées par les petites jupes ou culottes courtes. Ma mère, assez pudique, n'était pas favorable au déculottage et préférait claquer mes cuisses ; en fait le martinet a remplacé sa main sur mes cuisses. Hésitante au début, ma mère s'était mis au martinet sur un tard. Il m'était appliqué sur les cuisses nues juste sous la culotte courte.. J'ai ressenti douloureusement les pincements des lanières de cuir et j'ai appris ce qu'était la "danse" du martinet. C'était autre chose que les simples claques sur les cuisses. Et puis il y avait les zébrures qui s'affichaient ensuite sur mes cuisses. Cependant le martinet m'obligea très vite à me montrer plus obéissant et à travailler beaucoup mieux en classe. Ma mère se montra à la fois étonnée et ravie par les bons résultats obtenus grâce au martinet, et décida de ce fait qu'il était devenu indispensable à mon éducation. Dès lors, pendu bien en vue au salon, il était décroché au moindre écart de conduite et à la moindre mauvaise note. Il était tellement courant à l'époque que j'avais trouvé normal que ma mère en utilisât un pour moi. Je ne lui en voulais pas. Je trouvais qu'elle se montrait juste dans son emploi et que les punitions étaient méritées. Dans le même temps, je portais en permanence des culottes très courtes qui facilitaient l'application du martinet sur mes cuisses. Personne ne critiquait ma mère ; on la félicitait plutôt quand on constatait ma "bonne" éducation et mes excellents résultats scolaires. Avec le temps, je compris les motivations de ma mère et j'acceptai cette éducation rigoureuse. Et en même temps ma mère débordait d'affection avec moi. Je lui avouai même qu'elle pouvait continuer à m'élever ainsi sévèrement, à me punir au martinet et que désormais je ne porterais que des culottes très courtes. Elle fut émue par mon aveu, me révéla qu'il hésitait à continuer. Cependant mes paroles et mon attitude volontaire l'encouragèrent à poursuivre et même à se montrer plus exigeante.
    A 14 ans, elle remplaça le bon vieux martinet à dix lanières carrées par un neuf à cinq lanières épaisses, carrées et souples fabriqué par un cordonnier. Il s'avéra plus mordant et plus marquant que le précédent ; je le craignais vraiment. Ma mère s'aperçut de sa redoutable efficacité et en modéra son usage. Cependant il me disciplina à plusieurs reprises et me força à améliorer davantage mes résultats scolaires à la grande joie de ma mère. Comme je l'y avait encouragée, elle n'eut aucune difficulté à me trouver des culottes très courtes dégageant mes cuisses aux 3/4, en toile de coton, en velours ou en flanelle ; il est vrai que petit de taille on en trouvait toujours qui m'allaient comme un gant. Je reconnais qu'à cet âge je fus parfois troublé d'exhiber ainsi mes cuisses parfois ornées de belles zébrures des lanières du martinet. Mais comme je m'y étais engagé, je mis un point d'honneur à assumer mes choix en tenues et mode de discipline. En classe de 3°, cette éducation sévère se révéla particulièrement efficace. Si bien qu' en seconde je demandai à ma mère de maintenir une certaine sévérité éducative. Elle accepta d'autant plus que de mon côté, j'avais du mal à abandonner mes culottes courtes. Avec le recul du temps, je reconnais que cette éducation très stricte m'a été profitable.

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  64. Les récits écrits ci-dessus sont tout à fait exactes,conçernant les vetements courts ,ainsi que la blouse en nylon et nos fesses bien cinglées par les lanieres en cuir du Martinet,bref on était pas en manque avec nos meres !Et à ma conaissance Il n'y avait pas une maison sans Martinet !Il faut dire que dans les années 70 et 80 Il y avait tellement de sortes de magasins qui en vendaient ,magasins de jouets,drougueries,sur les marchés etc...!.Certes Il y a beaucoup de recits de garçons qui reçevaient le Martinet par leurs meres ,mais je vous assure que pour nous les Filles on n'y échappaient pas non plus! En plus nous les filles à cette époque nous étions en jupes plissées bleues marine à larges bretelles droites devant et croisées derriere+la blouse en nylon dessus et le beret entassé sur nos tetes ,et cela pouvait durer jusqu'à nos 17 voir 18 ans ,comme cela fut mon cas!En plus malgré que nos jupes comportaient des bretelles Il n'y avait qu'a soulever nos blouses et nos jupes puis baisser nos slips et pourque nos meres n'aient qu'à nous fouetter avec leurs maudits Martinets qui nous faisaient si mal à nos posterieurs!Au point qu'ils étaient bien marqués par des zébrures rouges au point qu'on avait du mal à s'assoir! De plus en 1976 comme j'allais dans une école privée pour filles et ou Il n'y avait que des enseignantes,Elles ne nous faisaient pas de cadeaux ,car pour un un oui ou pour un non elles s'en servaient largement!Elles passaient dans les travées dans leurs longues blouses blanches en nylon qui leur arrivaient sur leurs grosses chaussures en cuir à laçets avec leurs mains dans leurs poches et le Martinet également et de qu'elles apperçevaient quelque chose ,on était obligées de se mettre à plat vente sur nos pupitres ,puis elles nous relevaient nos blouses,jupes et descendaient nos slips et SCHLACK la fouettée commençait et elles ne faisaient pas semblant et je vous garentis qu'au bout de 10 coups deja ça faisait terriblement mal !non seulement on pleurait mais en plus on n'arrivait plus à s'assoir sur nos bancs!!.A la maison c'était pareil à la moindre Incartade nos meres décrochaient leurs Martinets du clou dans la cuisine et elles aussi nous fouettaient à toute volée nos pauvres posterieurs deja bien marqués!meme lorsqu'on sortait elles les emenèrent avec elles dans leurs sacs,au cas ou !...Et pour mes copines d'école c'était exactement le meme traitement !Je me rapelle aussi que pendant un moment nos meres avaient trouvées des Martinets vendus en commerce avec des lanieres en plastique ,mais lorsqu'on étaient fouetées avec ça faisait SCHLACK mais peu d'effet rien à avoir avec les lanieres en cuir mais elle se sont vite aperçues de cela et elles ont vite fait de racheter de bons et solides martinets avec de bonnes lanieres en cuir,bref moi comme beaucoup à cette époque jai bien dégustée des maudits martinets!De plus en plus des fessées au Martinet été comme hiver on devait gerder nos blouses sans arret et nos berets dès qu'on sortait ,qu'est ce qu'on pouvait suer enété et ps question de les enlever ,quoique nos meres elles aussi elles devaient suer aussi car elles étaient elles aussi en permanance dans leurs hyper longues et larges blouses en nylon,le beret aussi ainsi que leurs corsets en coutil avec jartelles pour tenir leurs bas fonçés ,,<merçi qu'en plus je n'avais pas à porter tout cet attirail de corsets avec jartelles et bas en plein été en plus des blouses en nylon et le beret ,mais ça aussi c'était banal car toutes à cette époque en portaient !.Il faut dire qu'elles ne faisaient pas attention à leur ligne et arrivées à 35 ou 40 ans elles faisaient deja 100kg au moins en tout cas tres Imposantes,mais c'est l'époque qui voulait ça!

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  65. En lisant tous ces récits je m'aperçois que noue étions tous et toutes logés à la meme enseigne !et comme nous sommes nés moi ma soeur et mon frere au début des années 60 nous avons bien connus le martinet à maman sur le haut de nos fesses et à l'époque ce n'était pas des Martinets de supermarchés comme on en vends aujourd'hui avec des petites lanieres souples qui ne cinglent pas du tout,!Non à l'époque dans le milieu des années 70 nos meres comme la notre les achetaient dans les magasins de jouets ,et cela étaient faits main,et solides,c'est à dire avec des lanieres en cuir bien épaisses ,au carré et longues et qui nous faisaient vraiment mal! D'aillieurs dès que ma mere allait le chercher audessus du buffet de cuisine on savait qu'on allait déguster et ne pas pouvoir s'assoir pendant plusiers jours tellement qu'ils faisaient mal !.notre mere l'avait placée la pour qu'il soit hors de notre portée ,mais malgré tout en étant assis à la table de cuisine on voyait les redoutables lanieres en cuir dépasser le buffet!Et les adultes plus grands que nous étant debout pouvaient le voir dans toute sa longueur biensur !Chez nous c'était comme ça mais chez certaines voisines il était tout simplement accroché à un clou dans la cuisine!Dans tous les cas on ne connaissait pas une maison sans Martinet !C'est comme toutes les mamans étaient en permanace dans leurs blouses en nylon,et ne l'enlevait pratiquement jamais,comme la notre de mere elles étaient blanches en nylon boutonées sur le coté par des boutons en plastique noirs et arrivant à mi-jambes et larges car en plus à cette époque toutes les meres de famille étaient fortes et ne se souciaent pas leur ligne,et arrivées deja vers 35 40 ans elles portaient toutes le corset avec des bas tenus par leurs jartelles!.Nous leurs enfants nous on nous mettaient tous des bretelles à pinces garçons et filles et biensur la blouse en nylon aussi et le beret pour aller à l'école ou pour des qu'on sortait !Et gare si on ne le mettait pas,tout comme les cheveux nous les filles ils étaient longs et bien coiffés mais les garçons Ils avaient tous la tete rasée par leurs meres comme notre frere d'aillieurs !.Meme en hiver garçons et filles on avaient pas de pantalons longs comme aujourd'hui on restait en jupes courtes tenues par des bretelles et les garçons avec leurs culottes courtes tenus souvent par des bretelles à clips,on nous mettait juste des grandes chaussettes qui arrivaient aux genoux à hauteur de nos blouses !Et pour avoir moins froids à nos tetes on enfonçait nos berets à raz des yeux .Il n'était pas rare non plus qu'on assiste à des fessées au Martinet donées par nos voisines soit dans la rue ou dans les jardins derriere le maisons ,!Meme souvent aussi toutes les meres de famille du quartier elles se réunissaient dans la rue ,en blouses biensur et avec leurs Martinets en main ,C'est vrai que c'était une autre époque et qui fait parti des trente glorieuses comme on dit!

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  66. Relisant certains commentaires sur l'usage du martinet, je voudrais apporter quelques précisions.
    Il était d'usage courant dans les années soixante" et la plupart des familles en possédait un . Il n'y avait pas autant de grandes surfaces qu'aujourd'hui et on trouvait des martinets dans les drogueries de quartiers et les marchands de jouets. Il servait pour l'obéissance et la discipline à la maison et à l'école, il valait mieux avoir une conduite irréprochable et de bons résultats.
    Ma mère avait acheté le mien en ma présence à la droguerie du quartier où nous étions connus. La marchande était ravie car ça faisait un moment qu'elle le recommandait à ma mère. Beaucoup l'accrochait à la cuisine ou le couloir ; ma ère le suspendit au salon, bien visible. La droguiste, fervente partisane du martinet, demandait aux parents des nouvelles de celui qu'elle avait vendu, donnait des conseils d'utilisations. Pour moi, toujours en culottes courtes, le martinet étéit uniquement employé sur mes cuisses nues ; il laissait de belles zébrures et je reconnais que c'était très éducatif.
    En ville, il n'y avait qu'un seul supermarché mais il arrivait d'y voir des bacs entiers de martinets au rayon des jouets, notamment à la rentrée des classes. les parents qui s'y attardaient repartaient souvent avec un martinet dans le chariot des courses au grand dam des enfants.
    Mais c'était l'époque d'une éducation plus stricte et sévère ; les enfants devaient s'y plier. Cela peut paraître incroyable aujourd'hui

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    1. Bonjour Cambacérès,je lis souvent vos commentaires,toujours marqués par vos souvenirs de gamin qui aimait rester gamin même avec une éducation très stricte.De mon côté ma mère aurait pu être la sœur jumelle de votre mère:le martinet était son instrument de favori pour me remettre dans le droit chemin,et de la façon dont elle s'en servait c'était très efficace!
      Et comme pour vous,sans doute le même côté retro catho,ce n'était que sur les cuisses que tombaient ces foutues lanières,cela marquait vite et pour un bon moment ce qui fait que bonjour pour aller faire des courses ou voir des amies après,tout le monde pouvait voir que la petite Bénédicte venait d'être fouettée et bien fouettée; mais comme vous j'étais fière d'être punie ainsi et,pour vous je ne sais pas ,mais pour moi cela m'a révelé très vite un certain trouble qui me rendait toute drôle en le recevant et aussi après.
      A cette époque c'était bien sur à la droguerie que ma mère achetait ses(ou mes?)martinets,car il n'existait pas trop en supermarché,maintenant c'est l'inverse et c'est avec le plus grand plaisir et excitation que dés le début des vacances mon mari profite de notre premier ravitaillement pour venir avec moi et mettre un martinet dans notre chariot!La honte si jouissive lors du passage en caisse et les commentaires des autres personnes,dignes de ceux des drogueries de mon enfance.
      Et je ne me trouvais pas être une enfant battue car mère m'expliquait pourquoi et,aprés la séance de coin,et un peu de morale elle me faisait un gros câlin.
      Bien à vous.

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  67. Bonjour Bénédicte,
    Merci pour votre commentaire. J'étais de petite taille et même à seize ans, il n'était pas difficile de me prendre pour un gamin bien plus jeune surtout en culottes courtes.
    le martinet n'est arrivé que sur un tard, à onze ans, suite à mon redoublement de ma 6°. Il a servi régulièrement sur mes cuisses pour toute note insuffisante et bien sûr pour tout écart de comportement ; fort heureusement sur ce point ce fut rare.
    Ma mère n'était pas à priori très favorable au martinet mais elle le trouva très efficace avec moi et s'y convertit.
    Effectivement, ma mère très prude ne l'employa que sur mes cuisses, ce qui était bien douloureux. et avec pour conséquence des traces bien visibles mais, comme elle disait, cela faisait partie de la punition. je dus m'y faire. Et comme vous, que ce fut à la messe, pour faire des courses ou en sortie, on pouvait parfois apercevoir des zébrures sur mes cuisses. mais tout cela était somme toute courant et on ne blâmait pas ma mère, bien au contraire. Le plus difficile, ce fut en classe mais je n'étais pas le seul dans ce cas.
    Vous évoquez le trouble que le martinet vous causa. Pour moi, cela ne vint que vers quinze, seize ans, quand je pris vraiment conscience de ma singularité de rester habillé comme un petit garçon et d'être corrigé comme un garnement. c'était un trouble plus cérébral que physique. Cependant ma petite taille me renvoyait l'image d'un enfant qui avait encore besoin d'une discipline stricte qui avait jusque-là si bien fonctionné. cela me convenait encore même si à seize ans je n'allais plus en classe en culottes courtes mais en mettais le reste du temps.
    Je connus cinq martinets différents tous achetés à la droguerie du quartier et renouvelés presque toujours à chaque rentrée des classes. Les deux derniers furent des martinets de cordonnier à cinq lanières épaisses, carrées et souples, les plus mordants.
    Par contre à l'âge adulte, je dois reconnaître que le martinet ne m'a pas manqué.
    comme vous, je ne me suis jamais senti maltraité d'autant plus que ma mère me couvrait d'affection même après une punition.
    Bien à vous Bénédicte.

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  68. Bonjours chers correspondants!oui en effet ayant habitéè dans l'est de la france dans les années 70 je m'aperçois que c'était apparament comme cç partout en france ,et surtout dans les villages nous étions tous et toutes en Blouses en nylon et le beret du moins jusqu'à nos 15 /16 ans,et quant au Martinet à lanieres en cuir dans notre région c'était banal !et il y avait beaucoup de commerçes meme au village qui les vendaient!apparament ils avaient du succés!meme chez les autres compines et compins de mon age tous devaient mettre blouses en nylon et le beret,et reçevoir également de bonnes fessées au Martinet,et meme en pleine rue ,personne n'y pretait attention !Par contre à force d'en reçevoir sur nos fesses,on avait du mal à s'assoir sur une chaise,de fois on demandait un coussin ,rien à faire nos meres nous répondaient vous n'avez qu'à écouter comme ça je ne serai pas obligée de vous fesser avec,de plus comme c'était la mode des blouses en nylon pour tut le monde nos meres les jours de marchés s'en achetaient de préfèrence en nylon et longues et larges !plus un beret,meme les jeunes mamans étaient affublées ainsi ,c'est vrair qu'à notre époque c'était comme ça et il ne fallait surtout pas discuter ou répondre sinon les fessées étaient doublées !Meme à l'école dans les villages l'istitutrice elle aussi était comme nous en blouses en nylon et le beret et elles avaient le droit de se servir également du martinet sur nous à l'école alors oui nous pouvons dire que nos Institutrices et nos meres nous ont élevées avec discipline !

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  69. Bonjour à tous,
    Je m'aperçois que beaucoup de familles nombreuses se munissaient d'un martinet pour l'obéissance, ramener le calme, soigner son langage, punir des bêtises et autres motifs. Fils unique, ma mère avait longtemps hésité avant d'en acheter un. Elle croyait que c'étaient surtout pour les parents avec plusieurs enfants. Mais la droguiste du quartier la détrompa. Au contraire bon nombre de parents avec un seul enfant étaient aussi des adeptes du martinet. Et comme elle m'élevait seule, elle l'encourageait à recourir à son tour au martinet. Ma mère y vint finalement pour mes résultats médiocres en classe. Bien conseillée par notre droguiste, elle l'employa exclusivement sur mes cuisses nues car je portais presque tout le temps des culottes courtes. "Les fils uniques sont de bons clients pour le martinet" ; elle avait raison ! il ne me fut pas épargné mais s'avéra très efficace.

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    1. Bonjour Anonyme,oh ouibeaucoup de famille,à mon époque,se munissaient de martinets pour discipliner leur progéniture;vous parlez de famille nombreuse ou bien sur il était plus que nécessaire pour rétablir l'ordre,et aussi de votre cas d'enfant unique:mais je pense que votre mère voulait pour vous la perfection et non un enfant roi trop gaté!d'ou l'arrivée de ce martinet acheté chez la droguiste,fichu magasin,qui avait si bien su vanter l'utilisation de ce fouet enfantin!
      Pour ma part nous étions deux enfants et mon frère me suivait de trois ans,bien entendu cela ne posa pas le moindre problème à ma mère:éduquée au martinet par sa mère,comme il cuisait le martinet de grand mère!,elle en acheta un en ma présence pour mes huit ans, dans ces fichues drogueries,et je fit très vite sa connaissance;
      oh comme ca cuisait plus que les claques que mère m'administrait jusque là sur les cuisses dégagées par des robes ou jupes très courtes permettant ce genre de punitions rapides et efficace!
      Donc éducation très sévère mais toujours juste et dans un climat de bonne entente familiale.

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  70. Bonjour,
    Oui, beaucoup de parents avaient un martinet chez eux. Il avait souvent un rôle dissuasif mais pour être persuasif il devait tomber de temps en temps. Chez moi, ma mère avait fixé des limites et si je les dépassais, le martinet intervenait. Pour elle, le martinet ne pouvait efficacement jouer son rôle éducatif que si son usage était certain dès qu'une limite était franchie. Pour cela elle avait établi des règles précises de discipline à respecter tant au niveau de mon comportement que de mes résultats scolaires et un barème d'emploi du martinet pour chaque manquement. Et elle s'y tenait. De ce fait les punitions étaient toujours justifiées et méritées ; il n'appartenait qu'à moi de ne pas dépasser ces limites pour éviter le martinet.

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  71. C'est exact,!car en France c'est vrai que le martinet était très utilisé par les mamans sur nos fesses,garçons et filles!de plus notre mere à moi et ma soeur était institutrice dans un lycée privé et dans les années 70 voir 80 il était encore fort utilisé par les professeurs exclusivement femminins dans ce lycée privé!,et approuvé par nos parents en plus!De plus filles comme garçons et cela jusqu'à 18 ans on devait tous porter des blouses en nylon bleues-marines assez longues et qui nous arrivaient à mi-jambes,en plus nousdevions tous et toutes mettre un beret noir dès qu'on sortait aussi,et gare à celui ou celle qui ne le mettait pas !Encore une bonne fouettée au Martinet!Nous les garçons nous avions encore moins de chance que les fillescar nos tetes étaient bien tondues à la tondeuse en plus,et beaucoul aussi comme moi il fallait mettre des bretelles à pinces sur nos culotte courtes !!Meme à la maison nous n'étions pas à l'abri des fessées au martinet par notre mere,étant institutrice elle était pour cette façon de faire,toujours dans ses longues blouses blanches en nylon qu'elle gardait à la maison avec un tablier avec bavette et bretelles au dos pour ne pas les salir!De plus en arrivant à la amison pas question d'aller jouer,car il y avait les devoirs à faire et surveillés par notre mer! et elle posait son martinet sur la table devant moi et ma soeur ,histoire de nous mettre en garde si nos devoirs étaient mal faits!donc meme à la maison ma soeur et moi et cela jusqu'à nos 18 ans nous y avons bien goutés au Martinet,Lorsqu'elle voyait que quelque chose n'allait pas tout de suite moi ou ma soeur on devait se lever et se pencher audessus le dossier d'une chaise ,puis elle nous soulevait notre blouse jusqu'aux épaules sans la déboutonne,puis c'était les bretelles qui sautaient ensuite la culotte courte et le slip pourqu'elle puiss bien nous fesser nos posterieurs avec son martinet ,et au minimum c'était 10 coups à toute volée ,ça faisait vraiment mal ! .et meme si quelqu'un arrivait elle continait ,puis après la fessée on devait se mettre à genoux mains sur la tete dans le coin de la cuisine,et meme la nous n'étions pas sauvés ,car lorsqu'on montait au lit ,nous étions prévenus que si elle entendait parler de nouveau elle monterait avec son martinet pour de nouveau nous fouetter nos posterieurs ,alors oui à cette époque ça se passait comme ça!

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  72. Le martinet plutôt que la main ! Beaucoup de parents le préférait pour cela. La main est faite pour chérir, caresser les enfants. le martinet, au contraire, ne sert qu'à corriger les enfants ; c'est aussi pour ça qu'il devait être bien visible d'eux. C'était souvent dans la cuisine, parfois dans le vestibule. Ma mère l'avait accroché au salon, près de la porte d'entrée donnant sur le couloir ; il pendait entre un long chausse-pied à manche et une brosse à vêtements. La droguiste avait insisté pour qu'il soit bien visible."Cela montre qu'on n'a pas honte d'en avoir un et qu'on n'hésitera pas à s'en servir". J'avoue que l'avoir assez souvent sous les yeux m'impressionnait et me rappelait à l'ordre. Il avait effectivement un rôle dissuasif. Après c'étaient les parents qui décidaient de son usage, des limites à ne pas dépasser et éventuellement du barème fixé. ma mère avait établi cette sorte de barème en fonction de mes résultats scolaires et de mon comportement. Au moins je savais à quoi m'en tenir. Et puis il était administré sans colère ni excès, c'est important aussi.

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  73. Qui sur Valence dans les années 68/75 au polygone est reçue des fessées à la main , allonger sur les genoux

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  74. Je suis une femme de 19 ans et mon copain me donne la fessée déculottée car je sais je suis très capricieuse et sa l'enerve alors il me prend sous son bras pour me mettre la fessée même devant nos amis ensuite je vais au coin pour me calmer et je lui demande pardon

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  75. Les dresseurs de femelles d'abattage utilisent des martinets fabriqués avec des fils électriques, ils dérouillent la chatte, les fesses et les mamelles avec et elles finissent par accepter d'etre ouvertes à la bite de cheval avec nettoyage des trous au goupillon, saletés va

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  76. commentaires il me semble tres déplacé loin de l'esprit du blog

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    1. Tout à fait d'accord avec vous!
      le martinet traditionnel,celui dont il est question dans ce blog,était fait pour faire obéir et discipliner les jeunes ;
      lorsque gamine le martinet a remplacé la main de ma mère j'ai trouvé cela très cuisant et redoutable d'efficacité!
      a cette époque c'était très usuel et courant de voir un martinet pendu bien en vue les lanières attendant les cuisses du puni et le manche la main de la mère de famille!
      nous sommes très loin des délires pseudo sexuels!
      par contre je suis tout à fait d'accord avec le copain de cette jeune femme qui la corrige pour la rendre plus raisonnable.
      mon mari qui n'était à ce moment là que mon "petit ami"me fouetta un jour avec le martinet maternel et ce fut le début d'une superbe histoire d'amour!
      et nous avons toujours un martinet à la maison
      amicalement de Bénédicte

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  77. Merci de votre commentaire moi qui n'ai pas connu le martinet j'en reve toujours. Vous avez toujours le martinet qui sert je suppose parfois

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    1. vous revez du martinet et vous n'en avez jamais reçu ?
      vous perdez beaucoup de sensation mon cher,si vous saviez
      "ce que cela fait"de le voir puis de le recevoir et aussi de devoir l'apporeter pour être fouetté!
      oui bien sur nous avons toujours un martinet à la maison et il sert!
      oh pas très souvent mais c'est toujours fascinant de le voir pendu prêt à servir!
      mon mari et moi sommes très heureux comme cela et tout va
      pour le mieux entre nous

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  78. J'avoue que le martinet ne me faisait pas rêver. Mes copains l'avaient connu bien avant moi et l'instrument m'inspirait certes de la curiosité mais surtout de la crainte. Dès que j'en fis l'expérience, notamment de sa douleur, la crainte demeura mais associé à un certain respect. Il m'impressionnait. Il avait été acquis pour me corriger et ma mère avait été claire, il servirait pour toute note insuffisante et indiscipline. Et je devais aussi assumer les traces laissées sur mes cuisses nues que mes culottes courtes laissaient bien en évidence. Dans cette tenue, avec ma petite taille, j'eus longtemps une allure de petit garçon, mais un petit garçon toujours soumis au martinet de sa maman, même à seize ans. Et cela ne choquait personne tellement cet usage était courant à l'époque. Moi-même je trouvais cette situation somme toute normale et je me soumettais sans broncher au martinet de ma mère offrant mes cuisses aux lanières sans discuter. Ma mère considérait que le fait d'exhiber des cuisses nues marquées par le martinet faisait partie de la punition. Aussi à seize ans, je devais encore assumer le fait d'exposer des cuisses zébrées après chaque correction ; c'était un peu honteux mais j'avais pris l'habitude de me plier à cette discipline.

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  79. Vous dites le martinet vous inspirait curiosite tout comme moi . Mais comme il y en avait un dans chaque foyer je me disais que je n 'etait pas comme les autres donc une certaine frustration puis fascination. D'ailleurs dans de nombreuses confession on retrouve cette situation l'arrivée du martinet montrait qu'on était devenue grande et comme les autres. Pour Bénedicte je suis une femme et apres le départ du cocon familial j'ai vite voulu gouter le martinet ouii du bonheur, mais mon mari n'est pas partisan donc frustéee à nouveau Au plaisir de vous lire

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    1. Vous évoquez la frustration de n'avoir pas connu le martinet. Tant qu'il n'y en avait pas à la maison, cette "curiosité" ressemblait sans doute à une certaine frustration aussi. Mais dès qu'il apparut et servit, ce sentiment disparut et j'eus enfin l'impression d'être traité comme les autres enfants. Le martinet n'était pas pour moi un "obscur objet du désir" mais bien un instrument de correction pour me punir. Il était bien douloureux et je n'avais pas envie de le recevoir trop souvent, c'est ce qui faisait son efficacité. Cependant j'en pris mon partie et fis avec. Peu à peu je compris que ce type d'éducation sévère me convenait et je le reconnus auprès de ma mère. Nous convînmes donc de la poursuivre. Ainsi ce fut volontairement que je restai en culottes assez courtes plus longuement que bien des autres garçons et que je me soumettais à la discipline du martinet.
      Cordialement.
      cambaceres

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    2. Merci Cambaceres de vos commentaires pas lesquels vous reconnaissez une certaine frustration avant de gouter au martinet. Surement que j'aurais comme vous dechanté si cela m était arrivé. Je suis aussi vos souvenirs sur un autre site. Je suis Sophiekm

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    3. Bonjour à vous toutes et tous,
      J'étais sure que c'était toi Sophie qui avait répondu à ce commentaire!je suis ravie de te retrouver;
      ah oui le martinet suscite toujours des commentaires passionnés;ceux qui l'ont connu,ceux qui auraient voulu le connaître etc...
      mais dans tous les cas cela rerste un instrument fascinant et aimé,en tout cas par moi,et aussi par mon mari qui ne se prive pas de montrer son autorité par un emploi régulier du martinet conjugal.
      donc vive le martinet qui nous a permis de devenir des adultes responsables!
      amicalement à vous tous;
      pour Anonyme je lui repondrai sur les moments de la mise en service du martinet lorsque mon mari sera prés de moi pour vérifier mes écrits!

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    4. Bonjour Benedicte heureuse de te retrouver sur le blog j'approuve totalement tes commentaires sur la fascination du martinet, anonyme c'est moi aussi
      Sophie

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  80. Benedicte le martinet sert pour corrections ou moments calins ou les 2 je suppose au plaisir

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    1. Bonjour Sophie qui est Anonyme et les autres,
      je te réponds donc chère Sophie et comme promis,mon mari est à côté de moi et notre martinet est sur la table "prêt à l'emploi"si je ne dis pas la vérité!oui il est utilisé par mon cher mari dans deux types de situations:soit punitif soit érotique
      Il va de soi que c'est la deuxième situation qui me convient le mieux,quoique la punition me renvoie à ma jeunesse avec une nostalgie certaine et source d'émois intenses!je me retrouve jeune ado fouettée pour ses bêtises ou désobéissances.
      Dés mon retour à la maison je dois porter ma tenue d'ado modèle et qui doit pouvoir exciter son mari ,ou être punie par lui:je suis donc en jupe très courte soit ample soit plissée,facile à trousser,et bien sur interdiction formelle du collant ceci comme avec ma mère afin que rien ne gêne pour le martinet,Les bas sont permis et souhaités et comme c'est bon de me retrouver ainsi infantilisée.
      Bien sur si nous sommes surs que nos filles ne soient pas là le martinet doit être pendu bien visible dans la cuisine"comme chez ta mère"
      et il arrive que je doive aller le décrocher pour le tendre respectueusement à mon époux qui devient mon punisseur.Oh rassures toi il ne fouette pas trop fort,rien à voir avec ma mère,mais cela doit cependant marquer un peu les cuisses;puis c'est le coin,mais oui,puis le pardon et là c'est merveilleux,déjà rien que de devoir aller chrercher le martinet me rend toute chose,alors quand monsieur me prend sur ses genoux après c'est divin,et bien souvent nous restons dans le salon!!
      donc peu de différences entre punitions et erotisme,puisque pour moi le martinet est érotique!
      Bises à toi Sophie et cordialement aux autres entre autre notre cher Cambacérès
      Bénédicte et Jean mon mari

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  81. Bonjour Bénédicte et Sophie,
    Quand ma mère décida de recourir au martinet, cela ne me choqua pas. C'était tellement courant à l'époque et j'en avais déjà été par deux fois menacé. C'est vrai que quelque part, j'y étais plutôt favorable car autour de moi la plupart de mes copains le connaissait déjà ; je ne serai plus une exception. A l'usage, j'ai évidemment vite déchanté et ses morsures sur mes cuisses faisaient vraiment très mal et je trouvais très désagréable d'avoir à en exhiber les traces. Cependant chaque fois que mère trouvait que je le méritais, je me laissais corriger avec docilité, ce qui l'encouragea sans doute à continuer.Il s'avéra très efficace puisque j'améliorai mes résultats scolaires et je devins plus discipliné à la maison. Dans l'esprit de ma mère (et dans le mien aussi), le martinet ne pouvait s'appliquer que sur les cuisses nues. Ma mère insista bien pour me faire comprendre que montrer les traces de martinet faisait partie de la punition. le port de culottes courtes s'en trouva donc renforcé notamment dans le choix des modèles les plus courts. Comme j'aimais assez bien en mettre cela ne me dérangea pas trop. Avec le temps, je dus bien constater que le martinet avait une influence bénéfique sur mes résultats scolaires ; c'était indéniable. Aussi alors que ma mère hésitait un peu, je l'assurai que son éducation me convenait et qu'elle pouvait la maintenir. Il est vrai qu'après chaque correction, elle ne manquait jamais de me consoler. J'avais accepté de porter en permanence des culottes courtes à un âge où les garçons tentaient au contraire d'y échapper ; il y eut donc un peu de moqueries mais elles cessaient vite et on oubliait ma tenue. Et si des zébrures de martinet ornaient parfois mes cuisses, j'en prenais mon parti. Quelque part intérieurement, j'étais assez fier de montrer que j'étais bien élevé par ma mère et je n'acceptais pas de critiques ; je la défendais toujours vis à vis de camarades qui trouvaient qu'elle exagérait. Et puis mes résultats en classe parlaient d'eux-même. Même à 14, 15, 16 ans, le martinet restait d'actualité, et ceux qui y goûtaient encore ne s'en vantaient pas, mais la plupart en masquait les effets par un pantalon ou le recevait sur les fesses. Evidemment toujours porter des culottes courtes à quinze ans et montrer ses cuisses nues était devenu plus rare, mais je me trouvais encore enfant et ça ne me gênait guère ; j'aimais bien cultiver ma différence. Et quand je le méritais, j'acceptais encore d'offrir mes cuisses aux lanières du martinet. Finalement vers 15/16 ans, ce n'était ni les punitions au martinet ni les culottes courtes qui me dérangeaient le plus, mais plutôt les commentaires publics que cela engendrait lors de la messe du dimanche ou les courses dans les commerces du quartier. Je me sentais parfois un peu gêné mais j'arrivais à dépasser ce sentiment.
    Cordialement
    Cambaceres

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  82. Chers Internautes,vos commentaires sont justes car en France le Martinet était très répandu et à ma connaissance je n'ai pas connu pendant les années 60 et 70 beaucoup de maisons sans Martinet ,qui pour la plupart étaient accrochés bien en vue généralement sur un clou dans la cuisine.de plus j'avais des freres et soeurs plus agés que moi et qui continuait à en reçevoir sur leurs fesses!La dessus notre mere restait intransigeante !Tout comme pour le port de la blouse en nylon et le beret pour aller à l'école!En faite le martinet nous suivait partout meme lorsque nous sortions ma mere en permanance dans ses longues larges blouses en nylon jaunes le mettait dans l'une de ses grandes poches de blouses,et n'hésitait pas non plus à s'en servir meme chez les gens qu'on visitait !Bref en plus on se payait la honte ainsi fessés devant tout le monde.De plus par la suite comme nous étions 5 enfants 3 garçons et 2 filles notre mere a jugée bon qu'il y ait un en bas dans la cuisine et un accroché pareil sur un clou dans le couloir du haut à l'étage ,Bref elle ne voulaut pas se déplaçer et trouvait commode d'avoir à sa disposition un Martinet à sa portée!et ils ont bien servis sur nos fesses.meme que les autres mamans dans le voisinage s'invitaient à tour de role à venir tous les matins à boire le café respectivenant dans leurs foyers en prenant soin de laisser toutes sans exception leurs éternelles blouses en nylon et leurs martinets en poches !En plus on en trouvait un peu dans tous les commerces ces fameux Martinets,les drogueries,les marchands de jouets,les magasins d'alimentation et surtout sur les marchés qui avaient lieu 2 fois par semaine ou Ils étaient mis bien en vue et avec le vent volaient ce qui attirait le regard de nos meres sans doute,!Tout comme nos blouses qui étaient en nylon à cette époque il y avait de nombreux marchands qui en vendaient pour toute la familee donc ça aussi nos blouses étaient souvent changés et elles pouvaient etre boutonées soit devant,sur le coté ou meme dans le dos et fermées avec de grands boutons en lastique blancs,Et meme pour sortir Il n'était pas question de sortie sans la mettre ,Bref c'est ainsi que nous avons été élevés par nos meres et Il n'était pas question de discuter avec elles car à cette époque ça n'aurait pas passé !

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  83. Merci Benedicte de ton commentaire et je suis un peu jalouse de toi et de tes corrections et le rituel qui suit. Je pense que les coups doivent être cependant assez forts pour qu'ils marquent les cuisses et les fesses car pour ma part j adore me voir zebrée.
    Comme Cambacerese c'est vrai qu'a notre époque de jeunesse ne pas avoir de martinet a la maison c était rare et cela nous faisait passer pour des enfants pas normaux dans un sens. J'avais hâte d'etre enfin comme les copines même si j'aurais pu le regretter. Cependant peu ont regrette d'y gouter la premiére fois. Moi non donc c 'est une sacrée frustration
    Sophie

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  84. Bonjour Sophie,merci pour ta jalousie et ton envie d'être traitée comme moi!
    Oui il va de soit que ce n'est pas un simulacre et quand mon chéri me dit de lui apporter le martinet je sais ce qui m'attend :quelques bons coups sur les cuisses,je dois toujours être en jupe très courte,et cela cingle bien,moins qu'avec ma mère,mais cela marque bien et c'est bon de se sentir recadrée et redevenir une petite fille à punir.Puis c'est le coin,trés infantilisant et mon mari contemple mes cuisses bien zébrées.
    Et après c'est le pardon et là c'est une source inépuisable de bien être et de bonheur!Je dois bien sur dire merci de m'avoir corrigée.
    j'avais un petit voisin dont les parents ne voulaient pas de martinet et il était très excité quand il venait chez nous et tous les prétextes étaient bons pour voir le martinet pendu,jusqu'au jour ou il a demandé de le toucher!
    il était lui aussi très frustré par son absence,j'ai,bien plus tard,eu l'occasion de lui faire gouter et ce fut une mémorable séance pour nous deux!!
    Amicalement de Bénédicte

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  85. je ne suis donc pas la seule à avoir éte frustrée mais pas de copains pour m'y faire gouter. j'imagin etes corrections et le oin fesses nue combien de temps

    Bisous

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  86. Bonsoir,
    Elevée par des parents très aimants, mais assez stricts, je recevais des féssées parfois déculottées;c'était dans les années 75
    Mes parents n'éataient pas favorables au martinet , trouvant que la simple fessée suffisait.Moi , j'étais fascinée par cet instrument que je voyais quotidiennement chez une voisine qui me gardait après l' école; plusieurs fois ,elle y fit allusion, mais
    ne l'utilisa jamais avec moi ,n'étant pas sa fille.Le plus qu'elle fit, fut de le décrocher et de m' en menacer,agitant les lanières devant moi.Un jour,au cours d' une discussion , elle conseilla à ma mère de m'en acheter un et je fus très ému.Mais ma mère n'en fit rien et continua les fessées à la main.La fille de cette voisine me parlait parfois des corrections qu'elle recevait et ça m'interessait beaucoup. Notre voisine me demandait parfois si Maman allait acheter un martinet et je lui répondait que j'espérais que non.En réalité,je souhaitais très fort que ça arrive et qu'à mon tour je connaisse les coups de lanières.Un jour,elle avait puni son garçon et le martinet était sur la table de la cuisine quand Maman vint me chercher.Maman l'empoigna et me dit : Laurence, c'est ça qu'il me faudrait parfois pour te corriger! .J'étais aux anges ,mais tout le monde rit et ça en resta là.Maman n' en parlait plus et un jour je lui dit que Catherine , la petite voisine avait reçu une fessée avec le martinet et que depuis elle était sage.En même temps, je fis exprès de répondre à ma mère avec une certaine insolence et ce que j'espérais depuis longtemps arriva:maman acheta un martinet à la droguerie du quartier et l'accrocha dans la cuisine à coté des torchons; j'étais tellement heureuse que j'en revai toute la nuit
    Quelques jours après ,j'annonçais avec fierté à notre voisine que j'avais reçu une correction avec le martinet; elle fut surprise et interessée: Ah ta maman en a acheté un? Oui , il est accroché dans la cuisine et elle s'en est servie plusieurs fois !
    J'avais mon martinet et j'en étais fière!
    Laurence

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    1. Bonjour Laurence,merci pour votre si sympathique récit vous faisant inaugurer le martinet maternel si souhaité!
      Pour ma part ce fut différent,ma mère étant plutôt comme votre voisine très favorable à la présence,et bien sur son emploi,d'un martinet punitif!
      Mais comme dans votre cas avec votre voisine ma mère,et moi aussi,furent de bonnes instigatrices de son achat pour mes copains et copines:ma mère qui clamait partout les bons résultats obtenus grâce à l'emploi de son martinet et moi car cet instrument était très efficace pour me rendre sage et l'on me voyait souvent les cuisses bien striées par ces lanières!Et ,comme vous,j'avais des copines qui me demandaient "ca fait quoi d'être fouettée avec un martinet?"et qui en revaient la nuit!
      J'ai même un jour ,ou nous étions sures d'être seules,accédé aux désirs d'une bonne copine qui voulait absolument y gouter et je l'ai fouettée,oh pas fort et maladroitement mais suffisamment pour lui montrer et pour lui strier les cuisses!Et ce fut pour moi une révelation:j'aimais tenir le manche du martinet et bien sur nous avons souvent recommencé ce petit jeu,ma copine venant alors en pantalon pour éviter de montrer c qui lui était arrivé!
      Et c'est ainsi que j'ai connu mes premiers émois sexuels avec ma copine mais nous avions seize ans alors!
      Et que dire de l'achat d'un martinet,moment si intense!
      Encore merci et à bientôt Coraline

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  87. Merci pour votre temoinage Laurence car si j'avais aussi la fascination du martinet j en'ai pas eu l'audace ou le cran de provoquer son achat, je vous admire, c'est vrai j'aurais bien aussi voulu le voir accroché à la cuisine et avoir aussi MON martinet. Mais vous ne dites pas l'effet de la premiere fouettée
    Sophie

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  88. Merci pour ce beau témoignage, laurence ! le martinet sévissait autour de moi chez la plupart de mes copains qui le craignaient drôlement ; et j'en voyais les traces sur leurs cuisses. Il m'inspirait crainte mais aussi curiosité. J'en fus menacé mais sans suite. Cependant sa simple vue ou évocation me troublait, me fascinait. Inconsciemment j'avais sans doute développé une envie de le connaitre à mon tour. je n'eus point à le réclamer Ma mère dut s' apercevoir de mon trouble mais ne dit rien. Et tout d'un coup suite au redoublement de ma 6°, elle décréta que j'avais enfin besoin du martinet. Je fus surpris mais nullement choqué car je savais l'avoir amplement mérité. Et il servit sur mes cuisses nues. Ainsi commençait, comme mes camarades avant moi, mon éducation au martinet. Elle dura entre mes 11 ans et mes 16 anssans que je n'y trouve à redire.
    Cambaceres

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  89. Bonsoir Sophie et Cambaceres,
    La première fessée au martinet arriva quelques jours après son achat.J'avais tenu tête à ma mère,et lui avait répondu sur un ton insolent;aussitôt ,elle décrocha le martinet -quel émoi- et m'en appliqua cinq coups secs sur l'arrière des cuisses;la douleur fut vive et m'arracha un cri et quelques larmes; je ressentis ensuite une fierté réelle: j'étais une petite fille comme la plupart des autres enfants de cette époque: soumise à l'autorité de sa mère ;
    c'était ainsi dans les années 70 - 75; je vous rapporte cette petite scène survenue quelques temps après l'achat du martinet par ma mère.Maman avait invité une de ses amies à prendre le thé et elles discutaient de l'éducation des enfants ,de discipline et de punitions :
    Amie : tu leur donnes la fessée?
    Maman : bien sûr, quand ils le méritent
    Amie : et c'est souvent ?
    Maman : non ,pas si souvent;j'ai la chance d'avoir deux enfants assez sages. Quand je les punis ,c'est pour des raisons de discipline à la maison ,car à l' école,ils sont sages et travaillent très bien .Laurence me tient tête et est parfois insolente, Olivier tarde parfois à obéir.
    Amie : je ne te voyais pas aussi sévère!
    Maman : Eh oui,tu sais ,j'ai un martinet dans la cuisine!
    Amie : Ah bon ,mais tu me dis que Laurence et Olivier sont plutôt sages
    Maman : c'est vrai ,mais je pense que le martinet est nécessaire avec des enfants de cet âge ( 10 et 9 ans ) ça pose bien les limites .Ils savent que ma tolérance est très limitée, mais ne s'en plaignent pas!
    Amie : tu me surprends un peu
    Maman : je t'assure que c'est très efficace : je m'en porte bien et eux aussi!
    Cette petite discussion vous montre l'état d'esprit de ma mère , qui était celui de beaucoup de parents à cette époque ,je crois
    Laurence

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    1. Merci, Laurence, pour ces confidences avec ce petit dialogue.
      J'ai moi aussi connu à de nombreuses reprises ce genre de conversation où il était question des punitions corporelles, de l'usage du martinet, des zébrures visibles sue mes cuisses. C'était évidemment gênant pour moi, surtout au début, et puis je dus m'y faire.
      Ainsi lors de ma 4°, à 13 ans, après que j'eus avoué à ma mère que cette éducation me convenait et qu'elle pouvait continuer, une de ses amies nous rendit visite un samedi après-midi. Reçue au salon, elle aperçut forcément le martinet qui y était suspendu.
      - Je vois que tu as toujours ton martinet ; il ne doit pas servir beaucoup ?
      - Détrompe-toi ! il tient toujours sa place et Eric a encore besoin de ses services de temps en temps.
      Son amie me regardait d'un air sévère mais ma mère précisa
      - Tu sais bien que je l'avais acheté pour l'obliger à mieux travailler en classe, et il le reçoit encore quand il a des notes insuffisantes
      - Et il sert souvent ?
      - Pour toute note inférieure à 12/20...Et parfois pour son comportement.
      - Tu l'emploie toujours de la même manière ?
      - Bien sûr ! Comme tu le vois, il porte toujours des culottes courtes et je n'ai qu'à l'appliquer sur ses cuisses.
      - Mais exiger 12/20, ce n'est pas trop sévère ?
      - Souviens-toi, il était premier de classe en primaire, il est donc normal d'exiger plus que la moyenne. D'ailleurs il est presque redevenu un très bon élève. Mais dès qu'il fléchit, le martinet le rappelle à l'ordre. Et il ne s'en plaint pas bien au contraire.
      -Que veux-tu dire ?
      - Il a reconnu que cette méthode éducative était efficace, qu'elle l'obligeait à donner le meilleur de lui-même, et il m'a demandé de continuer à l'employer.
      Surprise par cette révélation, son amie me félicita :
      - C'est très courageux de ta part, Eric, beaucoup d'enfants au contraire ferait tout pour l'éviter.
      - C'est moi qui ai décidé d'employer le martinet, précisa ma mère ; mais il a alors trouvé qu'il l'avait mérité et n'a jamais protesté quand il devait être puni.
      - Maman est très juste, intervins-je. Au moins je sais ce qui m'attend surtout si je ne travaille pas bien, et puis elle ne l'utilise pas trop fort, juste ce qu'il faut pour faire mal...D'ailleurs j'ai proposé moi-même de ne plus porter que des culottes courtes car je sais que Maman adore me voir dans cette tenue.
      - Et c'est très pratique pour le martinet, conclut son amie avec un certain sourire.
      Elle-même, maman de deux enfants, possédait un martinet et s'en servait.
      Et tous ceux qui venaient à la maison tenaient le même discours ; ils approuvaient toujours ma mère pour sa sévérité et trouvaient que j'étais très bien élevé.
      Cambaceres

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  90. Merci Cambaceres et Laurence de vos témoignages malheureusement rien à vous confier car il m a fallu être étudiante pour acheter ce martinet si convoite. J'ai souvent regarde le martinet suspendu chez les copines sans oser toucher les lanières dommage . Je note chez vous deux après l'apparition du martinet à la maison la phrase j étais enfin comme les autres soumises au martinet, cette situation qui m a toujours trotte dans la tête et je dirais toujours ce regret. Au plaisir de vous lire
    Sophie

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    1. Bonjour Sophie,tu avais la chance de ne pas être fouettée avec un martinet et cela semblait être un handicap,pour moi je t'assure que les premières punitions au martinet je regrettais d'être au même régime que mes copines!Ce n'est qu'au début de l'ado que cela a commencé à me troubler puis ce fut une fascination!
      racontes nous un peu ton achat de ton premier martinet étant jeune étudiante,cela a du te laisser des souvenirs super,faits nous profiter de ces échanges obligés à cette époque quand on se retrouvait dans une droguerie vendant ce type d'instrument.
      très amicalement de Bénédicte

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    2. Bonjour Sophie,
      C'est vrai que l'apparition du martinet m'a d'abord laissé le sentiment que j'allais être l'égal de mes camarades qui pour certains le connaissaient depuis plusieurs années. Je n'ai pas protesté ni fait aucun reproche à ma mère. Mais j'ai vite compris ma douleur sous la morsure des lanières. Pourtant chaque fois, je me laissais corriger docilement conscient que j'avais mérité la punition. Ce n'était pas un martinet "prévention" qu'on brandit vers les enfants en menaçant et qu'on n'emploiera que rarement. Non ! J'avais onze ans. Je ne travaillais pas assez bien en classe, aussi ce serait un martinet "punition" acheté pour servir. Des règles furent établies, notamment pour mes résultats scolaires, et à la moindre note insuffisante, ma mère me l'appliquait sur les cuisses. Il fut de temps en temps employé aussi pour la discipline mais ce n'était pas son but principal. Et il s'avéra fort efficace puisque mes résultats remontèrent nettement. Discipline stricte et sévère jusqu'à treize ans. La maladie de ma mère fit qu'alors elle hésitait à l'employer et il m'arriva de n'être pas puni. Cela me troubla et je me sentais désemparé. Et en même temps je m'en voulais de ne pas ramener toujours de bonnes notes à ma mère malade. Aussi je décidai de ne plus profiter de la situation et lui demandai de revenir à sa discipline sévère qui avait fait ses preuves et qui quelque part me manquait. J'avais besoin de ce cadre rigoureux. Jusqu'à treize ans, j'avais surtout subi le martinet ; à partir de cet âge, en 4°, ce devint le martinet consenti et accepté toujours accompagné d'un climat affectif débordant. Ma mère m'aimait, ne manquait jamais de me témoigner son affection et après chaque correction elle m'embrassait et me consolait. C'était aussi un martinet "pardon" ; plus de disputes, de cris, de vexations, la faute était réparée par la correction et on n'en parlait plus après. Même s'il m'en cuisait parfois, cette atmosphère familiale mêlée d'exigences, de sévérité et de tendresse me convenait. De plus ça ne me dérangeait pas d'être en permanence en culottes courtes sachant que ma mère adorait avoir son "petit garçon" habillé ainsi et même si j'avais parfois la honte d'exhiber des zébrures sur les cuisses. Et ma petite taille arrangeait tout puisque j'ai gardé une allure de "gamin" jusqu'à seize ans passés. Certains trouveront que cela m'infantilisait, c'est vrai, mais je me sentais encore enfant d'autant plus que je n'eus longtemps qu'un mince duvet, ma pilosité ne se développa vraiment que vers 17 ans.
      Comme vous le voyez, le rapport au martinet n'était pas que physique mais aussi cérébral, c'était un état d'esprit
      Cambaceres

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  91. Bonjour à toutes les personnes qui ont reçues le martinet par leurs meres en étant enfant ou adolescent comme moi !Nous étions en 1977 et moi et ma soeur nous allions dans une école religieuse privée,ou la blouses en nylon bleues marine boutonée dos par de grands boutons étaient obligatoires ainsi que le beret ,garçons et filles .de plus les filles devaient porter des jupes plissées à larges brettelles sous leurs blouses ,quant à nous les garçons ont portait des culottes courtes avec boutons à l'interieur pour y accrocher nos bretelles ,bref nous étions tous bien cadenassés !quant au martinet ,à chaque rentrée chaque élève devait en amener un et le remettre au bureau de la diectrice,qui ensuite les répartissaient dans les classes ,bref on étéit pas en manque! de plus nos institutrices ( comme les parents avaient signés comme quoi ils étaient d'accords pour que l'on soit fessé avec ,nos cheres Institutrices ne s'en privaient pas !.Pour les filles il suffisait de juste relever leurs jupes et leurs blouses en nylon et les fouetter sur leurs fesses ,puis c'était 30mn à genoux les mains sur la tete sur l'estrade !,garçons ou filles mais à la maison ce n'était pas mieux car notre mere employait également le martinet sans arret !en plus lorsque notre mere nous fouettait avec son martinet c'était dehors attachés avec une large ceinture autour de banc à plat ,et ça nous tombait!comme ça les voisins pouvaient nous voir !Et la dessus nos meres étaient intransigeantes et meme disaient heureusement que ça exsiste les martinets !

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  92. Bonjour
    J'ai 19 ans et je suis fasciné par l'éducation stricte à l'ancienne : fessée, culotte courte, cheveux très courts… J'aimerais beaucoup discuter avec ceux qui ont connu ça et pourquoi pas le vivre aussi.

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  93. J'ai oublié. Mon mail: mick.kellogs@gmail.com

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  94. Pour ceux et celles qui n'ont pas connus ni les blouses en nylon ni le Martinet Ma soeur et moi fin années 70 et début des 80 y avons goutés souvent grace à maman qui était une Inconditionelle du Martinet,ainsi que des blouses en nylon que nous devions porter tout le temps et ceci jusqu'à nos 16 ans!sans parler de nos larges bretelles en élastique et berets qu'on devaient aussi porter,et quelque soit la saison,meme si on transpiraient on n'avait pas le droit de rien enlever sous peine d'etre fessés de nouveau par maman au Martinet!Nous avions tellement de choses sur nous qu'on osait meme pas aller aux toilettes à l'école!Le pire meme si on sortait quelque part ,Maman prenait toujours son martinet dans son sac,ou sur le tableau de bord de la voiture et meme la nous étions copieusement fessés avec aussi!en plus lorsque nous allions acheter tout notre équipement pour l'école à la rentrée en septembre( blouses,berets bretelles etc..) maman choisissait toujours un nouveau Martinet pour moi et ma soeur,en demandant à la vendeuse,et d'une voix forte madame je voudrais un nouveau Martinet pour mes enfnats,et la vendeuse descendait la grosse grappe de Martinets du plafond grace à un crochet et la notre mere les essayaient en claquant les lanieres en cuir en l'air,ce qui amusaient ,et la vendeuse et les autres clientes dans le magasin!meme que souvent que c'est ma soeur qui devait le porter jusque la maison;puis la notre mere le reprenait et le cachait pour ne pas qu'on le trouve!Puis notre mere mettait sa blouse en nylon.et sa charlotte en plastique sur sa tete et souvent elle regardait mes cheveux et si elle jugeait qu'il fallait passer un coup de tondeuse électrique elle me rasait ma tete en ne laissant que 5 mm dessus,mais à ma soeur elle n'y touchait pas ,sauf elle gardait ses cheveux mais à la maison elle devait mettre une charlotte en plastique elle aussi sur sa tete!Voila la vie en France dans les années 70 et aussi 80,et on peux dire que nos meres ne se répetaient pas 2 fois et qu'on aurit jamais osés répondre à notre mere!Ce qui ne ressemble à rien avec la vie aujourd'huiMais était ce pire ou mieux ?!

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    1. Bonjour
      Vous etiez habillé comment en général?
      Vos blouses nylons étaient comment: couleurs, fermées devant?
      Vous étiez souvent tondu?

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  95. Bonjour , Mardi 18 MAI 1976 , 18 Heures , Maman prépare tranquillement le diner dans la cuisine ; je suis dans ma chambre ; je suis tourmentée car j'ai fait une grosse bêtise et je sais qu'elle va être découverte .

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  96. Soudain , Maman m' appelle sur un ton autoritaire , " Laurence vient tout de suite ! " . Je me doute que ça va mal se passer ; je rejoins Maman à la cuisine . Accroché au mur de la cuisine , à côté du tablier de cuisine , du calendrier des Postes et du torchon, il y a le martinet . Il est là depuis 2 ans , depuis mes 9 ans . Manche de bois beige , collerette bleu marine , 8 solides lanières de cuir brun ; Je le vois tous les jours ; je n'y fais plus attention, tellement il fait partie de la cuisine . Mais à cette minute , je le trouve de nouveau très impressionnant , car je crains la suite des évènements ; Maman a découvert la grosse bêtise ; j' ai eu tort de lui désobéir ; Elle est en colère ; dernière tentative pour éviter le pire ; je mens . " Tu me mens , Laurence ! " Nouvelle erreur qui augmente sa colère . Quelques pas vers le mur ; elle décroche le martinet , m' empoigne et m' applique huit coups très secs sur le derrière des cuisses ; je plie un peu les genoux pour amortir les coups , mais les lanières de cuir claquent fort . Maman me gronde et raccroche le martinet . Elle me caresse la tête et dit ; " va réfléchir à ta bêtise " . Je suis très contrariée ,; les cuisses piquent très fort et je vais avoir de vilaines marques pendant deux jours .; Je le savait pourtant ce qui arrivait quand je désobeis ;ça se passait comme ça à Saint Quentin , en 1976
    Laurence

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    1. bonjour Laurence, c'était assez voisin à la maison, le martinet prés des torchons et prêt à l'emploi, et quelques coups bien sec sur les cuisses, et ca cuisait vite,puis le coin ,et les marques qui font voir que tu as été fouettée!
      et c'était sur Paris en 62
      trés amicalement à toi souerette en martinet

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